Recortes de prensa y noticias de jardines (Sección fuera de España)  

Jardines de Francia


Portada de Ciberjob Historico de noticias de los Jardines de Francia Para escribirnos

domingo, agosto 29, 2004 :::
 
Fuente: Le Figaro
Fecha: 26-8-04
Autora: Fabienne Reybaud

À VISITER

Brodeurs de vert
Dans le Périgord noir, une folie de parterres à la française autour d'un manoir du XVIIe siècle.

Lorsqu'un paysagiste vient visiter les jardins du manoir d'Eyrignac, il en ressort bien souvent agacé. D'abord parce que ce jardin est l'oeuvre d'un autodidacte, ensuite parce qu'il attire les foules (92 000 visiteurs par an), enfin parce qu'il ne ressemble à aucun autre. Et le propriétaire des lieux, Patrick Sermadiras de Pouzols de Lile, s'en délecte. Il faut dire que l'histoire de ce jardin tiré à quatre épingles au beau milieu de champs de maïs et de tabac tient de la seule volonté de son père, Gilles Sermadiras, qui se toqua, dans les années 60, de le modeler à son goût.

«Il a été fait pour le seul plaisir de mon père, affirme le fils. Quand il était jeune, il s'y sentait malheureux. Eyrignac appartient à notre famille depuis cinq cents ans. Au XVIIIe siècle, l'un de nos ancêtres, Gabriel de La Calprenède s'y installe et crée un premier jardin à la française. Au XIXe, il est, comme le voulait la mode, transformé en parc romantique à l'anglaise. Au début du XXe siècle, il est laissé à l'abandon, et mon père s'était promis de le remettre en état après la guerre.»

Pour mener à bien son entreprise, Gilles Sermadiras fait appel à deux paysagistes de renom, le Britannique Russel Page et le Français Loup de Vianne. Jugés trop prétentieux, les projets sont écartés. En outre, Sermadiras est convaincu qu'un jardin ne se fait pas «en y venant trois fois l'an». L'homme habite Eyrignac. Ce jardin qu'il construit en pensée, pièce par pièce, depuis qu'il est enfant, sera donc le sien. A l'aube des années 60, l'ancien notaire loue un bulldozer et rase 80% des 6 hectares du parc à l'anglaise. Le propriétaire veut retrouver le faste des ordonnancements du jardin à la française de son ancêtre La Calprenède, dont pourtant aucune trace, aucun plan ne subsiste.

Il échafaude des maquettes de bois qui en brossent la structure : elle sera classique dans ses parterres de buis et dans les perspectives de ses allées d'ifs taillés en topiaires, mais libre dans ses échappées sur la campagne environnante, dans la forme insolite des motifs tracés. «Il a choisi de faire un jardin du XVIIIe car le style à la française correspond à son caractère. Il est très ordonné dans sa vie, dans ses idées. C'est un jardin masculin, très architecturé. Un jardin de verdure, sans fleurs. Mon père a eu l'intelligence d'imaginer ce qu'il donnerait vingt ans après.»

En 1974, Patrick Sermadiras décide de prolonger l'oeuvre paternelle. Il double la surface du jardin, crée une roseraie, sème du gazon dans toutes les allées, et l'ouvre au public, en 1987, après qu'Eyrignac a été inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques. «J'ai voulu que cela soit le jardin le mieux entretenu de France, que le public soit époustouflé.» Et il l'est. D'abord par le tableau de chasse d'Eyrignac : grand prix des Jardins de France décerné par la Demeure historique, trois étoiles au Guide vert Michelin, label de «Jardin remarquable» octroyé par le ministère de la Culture... Ensuite parce que, sous les ors des médailles, pousse une impression de puissance et de retenue qui s'exprime tant dans la violence des verts conjugués à l'infini que dans la construction linéaire des volumes, dont la symétrie parfaite confine à l'obsession.

Après avoir traversé un paddock moutonné de millepertuis, le visiteur sait qu'il pénètre dans ce que l'on appelait au XVIIIe siècle un «jardin de l'intelligence». A gauche, un «verger» composé exclusivement de pommiers taillés en boules et posés sur des coussins de santoline grise s'ouvre sur la spectaculaire «allée des charmes», le grand oeuvre de Gilles Sermadiras. En tenue d'apparat, une double enfilade de colonnes d'ifs enlacés dans des contreforts de charmes en spirales. L'effet de perspective est saisissant, renforcé par une inversion du sens des motifs, à mi-parcours... Peu après, l'«allée des vases» offre une construction savante sur trois niveaux : en rangs, des Chamaecyparis pyramidaux soulèvent leur jupon vert anisé sur des dessous d'ifs brodés et de buis taillés en plateaux.

Ce tracé presque féminin se termine sur une rotonde de verdure capitonnée de charmes dans lesquels ont été percées des fenêtres, clin d'oeil italianisant à la campagne environnante. Il y a aussi à Eyrignac, face au manoir en pierre blonde, des parterres d'arabesques de buis nains, somptueux de monochromie, encadrés de part et d'autre d'une rangée de cyprès toscans et d'une allée d'ifs dont le vert sombre est éclairé par une taille ciselée en pointe de diamant.
Seul le bruit des cisailles, cigales de l'endroit, vient troubler l'harmonie d'un lieu où les visiteurs parlent à voix basse. Armés de fils à plomb, de cordeaux et de ciseaux, six jardiniers s'appliquent à contenir les débordements naturels des essences. «On taille les ifs et les buis deux fois par an, les charmes quatre fois par an. Il faut aussi tondre tous les cinq jours des kilomètres de bordures de gazon. Ce jardin est une folie, il coûte 2 300 euros d'entretien par jour. Mon père l'a créé, mais je l'ai mieux entretenu que lui ! J'espère que mon fils, qui a six ans, prendra la relève. Il a l'oeil, et il repère déjà quand une branche dépasse.» Logique...

Les jardins du manoir d'Eyrignac, 24590 Salignac. Tél : 05.53.28.99.71. www.eyrignac.com




::: Noticia generada a las 9:44 PM


lunes, agosto 23, 2004 :::
 
Fuente: Le Figaro
Fecha: 19-8-04
Autora: Fabienne Reybaud

Essences de Méditerranée
Sur la corniche des Maures, au domaine du Rayol, Gilles Clément a recréé différents jardins du monde.


L'histoire du domaine du Rayol aurait pu mal finir. Face aux îles du Levant, de Port-Cros et de Porquerolles, vingt hectares de garrigue quasiment vierges, perdus entre Hyères et Saint-Tropez, accessibles après des heures de route sur un littoral perclus de campings et de résidences vacancières. Pendant quinze ans, le domaine du Rayol, propriété d'une société d'assurances qui voulait le transformer en complexe immobilier, a été laissé à l'abandon. Malgré la mobilisation des associations locales, peu enclines à troquer la flore méditerranéenne contre des fleurs de bitume, le bras de fer dura neuf ans. Enfin, en 1989, le Conservatoire du littoral racheta le domaine pour 20 millions de francs, soit un quart de son budget national.

Fin du spectre immobilier. Début d'une autre histoire qui avait pourtant bien commencé au début du siècle dernier. En 1909, un banquier parisien, Alfred-Théodore Courmes, s'offre quarante hectares de maquis pour y couler ses vieux jours avec sa jeune épouse, Thérèse. Il demande à l'architecte Guillaume Tronchet de lui construire plusieurs bâtiments en belvédère sur la mer : une «ferme» entourée à flancs de coteau d'un verger et d'un potager, un «hôtel de la mer» de style italianisant avec ses terrasses et ses bas-reliefs peints de putti, une autre villa, Le Rayollet, d'aspect néo-provençal, érigée en 1925. Et une immense pergola d'inspiration antique construite au milieu d'un jardin d'agrément où poussent palmiers dattiers, agaves et mimosas. Tout autour, la végétation méditerranéenne s'étage en amphithéâtre sur la mer : forêts de chênes verts et de chênes lièges, pins parasols, bosquets de cistes, de lentisques, d'arbousiers.

Le krach de 1929 met fin à la vie d'Alfred-Théodore Courmes qui, ruiné, se suicide au casino de Monte-Carlo. En 1940, sa femme vend la propriété à l'avionneur Henri Potez, contraint par la guerre à quitter ses usines de la Somme. Potez s'y installe et entreprend de redonner son lustre à l'endroit. Entouré d'une vingtaine de jardiniers, il commence par structurer le domaine en ouvrant des perspectives. Un escalier monumental de 93 mètres, encadré de deux rangs de cyprès, est construit pour relier la pergola au rivage. Les alentours s'habillent de mosaïculture : massifs en forme de papillons, de libellules, de fleurs... De nouvelles essences enrichissent le jardin. En 1948 près de 400 espèces exotiques sont recensées, des acacias d'Australie, des bambous de Chine, des araucarias du Chili... A la fin des années 50, Potez en fait sa résidence d'été. Mais, faute d'entretien et de jardiniers, le domaine végète. L'avionneur s'en sépare en 1974.

Quinze ans plus tard, le jardin du Rayol entame sa troisième vie : Le Conservatoire du littoral en confie la restauration au paysagiste Gilles Clément. «Il partage la même philosophie que le Conservatoire du littoral : respecter la biodiversité, réconcilier l'homme avec la nature et le responsabiliser», affirme Jean-Michel Batin, chef jardinier du domaine. Anti-Le Nôtre, initiateur du «jardin en mouvement» dans lequel le jardinier épouse l'inclination naturelle des plantes, le paysagiste accueille les essences vagabondes et imagine de transformer ce domaine, non pas en un énième jardin azuréen à la luxuriance savamment manucurée, mais en «un index planétaire ouvert sur les régions du monde biologiquement semblables». Le Rayol étant soumis à un climat méditerranéen, Clément choisit d'y créer un ensemble de neuf «jardins» qui évoquent les paysages et la flore vivant sous ces latitudes méditerranéennes. L'ancienne propriété du banquier et de l'avionneur devient alors une terre d'accueil pour tout ce qui pousse entre le 30e et le 40e parallèle, du pourtour méditerranéen au Sud-Est californien, du Chili central au cap sud-africain, jusqu'à l'Australie méridionale... «Le jardin australien a trouvé sa place sur une parcelle richement pourvue en eucalyptus, et le jardin américain aride sur un talus où prospéraient les figuiers de Barbarie, poursuit le chef jardinier. Toutes ces plantes ont en commun de s'adapter au feu et à la sécheresse.» Ici, ce ne sont pas les collections – 1 500 espèces différentes – qui font l'intérêt du lieu mais plutôt la façon dont elles s'intègrent dans le site. Les jardins ou plutôt les paysages conçus par Clément se déroulent et s'enroulent en à-pic sur la mer. Point de parcours fléché, ni de plantes étiquetées. Le promeneur se laisse porter au hasard de ses rencontres. On y croise de l'étrange et du familier. Comme ce singulier dragonnier replet donnant du relief aux couleurs sèches du jardin des Canaries. Ou encore ces arbustes «rince-bouteilles» dardant leurs épis en forme de goupillons vermillon au milieu d'une forêt d'eucalyptus et de mimosas (acacias) australiens dont les feuillages épuisent toute la palette des gris, des verts, des bleus, des argentés. Au détour d'une allée, on tombe sur une armada d'agaves en fleur, de cactus, de yuccas géants d'un jardin mexicain qui, à défaut d'être méditerranéen, témoigne du goût des propriétaires passés pour les essences exotiques. Le dépaysement est plus fort sur la parcelle chilienne où deux espèces modestes, des touffes de puyas et des Echinopsis chiloensis, recréent la sensation d'être dans un matorral désolé du Chili.

Mais le faste n'est jamais loin : dans l'ombre d'un jardin néo-zélandais peuplé de fougères arborescentes vert fluorescent. Dans la fraîcheur gracile d'une bambouseraie chinoise. Mais surtout dans cette pergola et cet escalier stupéfiants qui se déversent dans la Méditerranée. Bordées de cyprès et de haies azur de plumbagos du Cap, les marches arrivent sur un impressionnant stretlizia sud-africain. Ce jour-là, les fleurs noires de cet oiseau de paradis étaient parées de scarabées iridescents, venus illustrer cette phrase de Gilles Clément : «Le jardin n'est pas une fin en soi, c'est un livre ouvert sur la vie.» Petite ou grande.


Domaine du Rayol, avenue des Belges, 83820 Le Rayol-Canadel. Tél. : 04.98.04.44.00. www.domainedurayol.org Ouvert tous les jours sauf le lundi. Entrée : 6,5 €, gratuit pour les moins de 6 ans.


::: Noticia generada a las 8:14 PM


 
Fuente: Le Figaro
Fecha: 19-8-04
Autora: Martine Gérardin


Précieux jardins des palais de Bretagne
Dans le Finistère et le Morbihan, des demeures palladiennes et leurs parcs de rêve.

Terre d'embruns et de rivières, peuplée de lande et d'histoires au long cours, la Bretagne est truffée de beaux jardins. Vieux manoirs où déferlent azalées et bruyères, malouinières élégantes aux parterres bien ordonnancés, châteaux romantiques sertis dans leurs parcs à l'anglaise. La région compte aussi des compositions plus inattendues, en harmonie avec des demeures fastueuses et des sites splendides, à découvrir au fil de l'eau.

Lové entre l'océan et Quimper, l'Odet décrit ses larges boucles dans les forêts. Mouillages tranquilles où dorment les voiliers, criques habitées par les aigrettes, belles maisons de charme enchantent ses rives. Il faut s'aventurer assez loin au coeur du Finistère pour découvrir le château de Lanniron, un trésor d'harmonie et de munificence. L'ancienne résidence des évêques de Quimper doit son allure actuelle de villa palladienne à lord Emmanuel Harrington, un gentilhomme anglais qui la dota au XVIIIe siècle d'un fronton triangulaire supporté de colonnes ioniques et d'un escalier à double révolution.

Mais les superbes jardins en terrasse, soulignés de plates-bandes fleuries, de balustres, de topiaires, sont l'oeuvre de Mgr de Coëtlogon, évêque de Quimper au XVIIe siècle. Le puissant ecclésiastique, qui fréquentait la cour de Versailles, s'en était inspiré pour aménager ces terrasses échelonnées jusqu'au fleuve et joignant l'utile à l'agréable. Sur les deux premières s'y pressaient les fleurs les plus raffinées, entre myrtes et buis, tandis que les fruitiers choisis palissaient murs et tonnelles. La troisième était consacrée aux légumes agencés de telle manière que leur spectacle régale également les yeux.

Sept bassins animés de jets d'eau étaient répartis symétriquement sur ces terrasses. L'un d'eux, dédié à Neptune, se remplissait à marée haute et servait de vivier aux évêques gourmets et à leurs hôtes. L'orangerie accueillait l'hiver orangers, citronniers, bergamotiers et autres plantes exotiques que les vaisseaux de l'époque rapportaient d'outre-mer parmi bien d'autres curiosités

Le parc de Lanniron réserve d'autres surprises dépaysantes : palmiers de Chine et de l'Himalaya, arbres de Judée rapportés de Constantinople, hêtres de l'Antarctique. Autant d'arbres aujourd'hui vénérables plantés au XIXe siècle par les propriétaires du château, voyageurs passionnés de botanique. L'ensemble forme un tableau d'une harmonie parfaite qui se reflète dans l'Odet.

A quelques encablures, en faisant cap sur l'Océan, il est possible de rejoindre un autre palais de Bretagne : Kerlevenan. Propriété d'une longue lignée d'illustres marins et explorateurs, la somptueuse demeure est amarrée au sud de Vannes, au creux du golfe du Morbihan. Le doux tuffeau a supplanté ici le granit rugueux de la vieille Armor pour dessiner une maison altière de style palladien elle aussi. Mais alors que Lanniron avait, par un des hasards de l'histoire, conservé ses jardins formels à la française, Kerlevenan, dessiné juste avant la Révolution française, témoigne d'une nouvelle esthétique.

En accord avec le site naturel grandiose, son parc romantique déroule jusqu'aux flots un camaïeu de bois et de pelouses. Il abrite encore des fabriques : temple d'amour transformé en chapelle et pavillon de musique chinois, rares et précieux témoignages du style de jardin anglo-chinois, dont il subsiste en France très peu d'exemples.

de Lanniron, 29336 Quimper Cedex. Tél. : 02.98.90.62.02 et www.lanniron.com. Château de Kerlevenan à Sarzeau. Visite sur rendez-vous seulement. Tél. : 02.97.26.46.79.




::: Noticia generada a las 8:07 PM


viernes, agosto 20, 2004 :::
 
Fuente: DNA
Fecha:14-8.04


Aux Archives de la Ville
Les jardins du Moyen-Age à nos jours


L'exposition « Parchemins et jardins, les jardins strasbourgeois du Moyen-Age à nos jours » se tient jusqu'au 17 septembre dans les nouveaux locaux des Archives de la ville. Les Archives possèdent plus de dix kilomètres linéaires de documents et plans sur divers supports : parchemin, calque, papier, plaque de verre, toile, photographie, CD-Rom, cassette audio et vidéo, etc.

Parmi eux figurent de nombreux témoignages retraçant l'évolution des jardins de Strasbourg et de ses faubourgs au cours des siècles passés, qui sont présentés au fil de l'exposition. Celle-ci prend la forme d'un parcours thématique et diachronique présentant divers aspects du jardin du Moyen-Age à nos jours. Chaque thème est illustré par une série de documents d'archives.

Le premier thème est celui du jardin idéal : il retrace l'évolution de l'idée de jardin depuis le Moyen-Age (jardin biblique, jardin mythique, jardin classique, etc.) Renouant avec la fonction nourricière du jardin, la thématique centrée sur le jardin de nécessité aborde, sous un angle historique, les cultures médicinales (simples, plantes) et de subsistance (cultures maraîchères et fruitières). L'occasion de présenter les jardins monastiques du Moyen-Age, les jardins-maraîchers de Strasbourg et de ses environs (Robertsau, Montagne-Verte, etc.) du XIVe au XXe siècle, ainsi que les jardins de guerre.

La naissance et le développement, au XVIe siècle, de lieux de promenade pour la population bourgeoise de Strasbourg sont représentés par diverses variétés de jardins et parcs d'agrément : jardins de châteaux, jardins d'hôtels particuliers au XVIIIe siècle, jardins de campagne (Pourtalès, Jésuites de la Robertsau, etc.), parcs de promenade (Orangerie, Contades, Jardin des deux rives, etc.) ainsi que places-jardins (conception de la ville nouvelle par Conrath).
L'historique des jardins incorpore aussi celui des rapports entre la nature domestiquée et le jardinier, soit dans un cadre de loisir (les « jardiniers du dimanche »), soit dans un cadre professionnel (corporation des jardiniers née au Moyen-Age, syndicats de jardiniers, sociétés horticoles, naissance et évolution du service des Espaces Verts de la Ville, etc.)

Cet aspect permet d'introduire un dernier thème, celui des aspects sociaux du jardin : jardins-ouvriers, jardins de maisons (apparus à la fin du XIXe siècle dans certains quartiers de la ville), création des cités-jardins, etc. Cette convivialité du jardin qui, alliée à la culture brassicole de Strasbourg, donna naissance aux Gartenwirtschaften et Biergärten.

L'exposition se tient aux Nouvelles Archives de la Ville et de la Communauté urbaine jusqu'au 17 septembre : du lundi au vendredi, de 9 h à 17 h (au 32 route du Rhin).

D'autre part, sur le thème « Promenades dans des jardins d'archives », une visite guidée de l'exposition « Parchemins et jardins » est ouverte à tout public le 24 août, de 14 h 30 à 15 h 30. Nombre de places limité. Réservation indispensable au 03 88 43 67 00.

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Fuente:


::: Noticia generada a las 7:28 PM




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