Miscelánea de jardines  

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domingo, agosto 14, 2005 :::
 

Fuente: Le Matin (Marruecos)
Fecha: 7-8-05
Autor: Khadija Alaoui

Les Jardins du monde : Quand les paysagistes dessinent la nature


A partir d'aujourd'hui, et jusqu'au 15 août, nous vous invitons à une promenade dans les plus beaux jardins du monde, pour un parcours qui embaume les senteurs et les effluves du temps


Dans Jardins paradis imaginaires, l'auteur nous propose une promenade originale à travers le temps et les espaces. Des jardins mythiques se dévoilent dans une superbe profusion de plantes, de fleurs et d'architectures paysagères. Sublimes, contemporains, modernes, novateurs ou anciens, ces jardins sont le reflet d'une passion pour la nature, cultivée par l'homme. "Un jardin parfum de secrets s'échappe de leurs portes entrouvertes.

Les jardins présentés s'abritent derrière de hauts murs de pierre ou dans l'enclos d'un prieuré, s'épanouissent au creux d'un vallon ou dans le fond d'une gorge, se cachent, insoupçonnés, au coeur d'une ville ou dans l'intimité d'un îlot...

Les uns, trésors botaniques, offrent au promeneur les ambiances végétales d'un autre monde. Les autres, jardins d'idées, sont jalonnés de symboles ou d'énigmes: labyrinthes de verdure, topiaires, temples enfouis dans les feuillages, grottes peuplées de divinités... D'autres encore sont les créations fantastiques de paysagiste amateurs. Mais chacun, du modeste potager au parc somptueux, est né d'un même rêve. Le rêve d'un paradis enfin retrouvé".

Le jardin est un ancien art que l'homme a réussi à créer, et toutes les grandes civilisations se distinguent aussi, aux yeux de l'Histoire, par leurs manières propres d'avoir pu domestiquer la nature dans ces espaces de l'utopie. Les jardins renseignent très bien sur le mental d'un Japonais, d'un Français, d'un Anglais ou d'un Arabe. Objets de tant de soin, les jardins finissent par être les projections parfaites des tempéraments de leurs créateurs. Mais quels sont les plus beaux jardins du monde? Les plus célèbres ? Ceux d'hier ou d'aujourd'hui ? Ceux qui séduisent par une création sans cesse renouvelée ? Ceux qui s'inspirent de la mythologie ? Chacun a ses préférences.

Depuis l'Antiquité, la Méditerranée a été le lieu de commerce et d'échange des idées et des jardins. C'est la frange orientale qui a vu naître les premiers jardins. Puis ils sont passés de l'Egypte à la Grèce, avant de gagner Rome.

La civilisation musulmane entraînera un peu plus tard un parcours parallèle qui gagnera tout le Maghreb puis l'Espagne. C'est en Italie, à la Renaissance, que se fixent les premières images du jardin européen : compositions géométriques, arbres taillés, parterres de fleurs, intégration au paysage. Cet héritage de Rome, sublimé par des dizaines de réalisations dans toutes les principautés d'Italie, donnera naissance aux jardins classiques de Provence, d'Espagne, de Grèce ou de Turquie. La colonisation entraîne la naissance de jardins de plantes acclimatées qui envahissent rapidement la Côte d'Azur puis les rivieras italienne et espagnole. Le paysage en est radicalement bouleversé.

L'époque contemporaine ne fait que prolonger ce mouvement de mélange, d'échanges d'idées et de formes, de métissage. Avec la découverte du nouveau Monde et de l'orient, rois et seigneurs se prennent de passion pour la botanique. Dès la Renaissance, les potagers deviennent une source de plaisir pour l'esprit et les yeux, autant que pour le goût et l'odorat. L'histoire des jardins se recommence et s'enrichit perpétuellement dans ses créations les plus inattendues, en un jeu de va-et-vient entre histoire et modernité.


Les mots pour dire le jardin

Le mot “jardin” désigne un “enclos”, il vient du latin hortus, qu'on retrouve dans “horticole” et “horticulture”, mais sera supplanté par gardinus, terme signifiant une “clôture”, qui donnera Garten en allemand, gart et jart puis jardin en français et garden en anglais. C'est donc la parcelle fermée qui exprime l'idée du jardin, sorte de petite île de verdure protégée de l'agitation de la société urbaine par un muret de pierres ou une grille rafistolée…

Les jardins sont expressifs, ils nous indiquent qui s'en occupe et qui s'en préoccupe. Mais jusqu'à une époque récente, le jardin n'était pas l'œuvre de spécialistes, mais une création de moines, de peintres, de maîtres de la cérémonie du thé et même d'empereurs, bref d'une élite intellectuelle raffinée, ce qui explique la diversité et l'absence de rigueur dans sa réalisation, malgré une soumission certaine à des conventions formalistes.



Les jardins suspendus de Babylone

Les jardins suspendus de Babylone (Mésopotamie (VIe s. av. J.-C.).) étaient situés à Babylone, en Irak.Ce fut Nabuchodonosor II qui fit aménager ces magnifiques jardins en l'honneur de son épouse Amytis, fille d'Astyage, roi des Mèdes, au VIe siècle avant J.-C., et non, comme le disent les Anciens, pour la reine mythique Sémiramis. Il aurait fait aménager ces jardins pour qu'ils rappellent à son épouse la végétation des montagnes de son pays d'origine. Leur construction date de 600 av. J-C.

Aucun historien grec n'a vu les jardins suspendus, il s'agit en fait de récits ou d'histoires racontées par les soldats. Ces jardins étaient composés de plusieurs étages en terrasses, soutenus par des voûtes et des piliers de brique. Un immense escalier de marbre reliait ces terrasses, où l'eau, par des vis hydrauliques, était amenée depuis l'Euphrate

. C'était un véritable jardin botanique où l'on cultivait les plantes et les arbres de Mésopotamie et ceux des montagnes de Médie. Les fouilles ont révélé les assises du jardin et ses voûtes puissantes dominant le fleuve. Le mur d'enceinte de Babylone, célèbre par ses deux cent cinquante tours et ses neuf portes de bronze, fut élevé par le père de Nabuchodonosor II, mais il fut achevé par ses successeurs. La date de leur destruction est inconnue.


::: Noticia generada a las 11:56 AM


 

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Fuente: Teatronaturale
Fecha: 2-7-05
Autor. C.S.

A MICHEL CONAN IL GRINZANE GIARDINI BOTANICI HANBURY

E' toccato ad uno tra i maggiori esperti di storia e teoria dell'arte dei giardini il prestigioso Premio Grinzane

Michel Conan, uno dei maggiori esperti di storia e teoria dell’arte dei giardini, è il vincitore della tredicesima edizione del Premio Grinzane Giardini Botanici Hanbury, promosso d’intesa con la Regione Liguria e la Fondazione Cassa di Risparmio di Cuneo e con il patrocinio dell’Università degli Studi di Genova.

Conan, direttore degli Studi sul Paesaggio e sul Giardino di Dumbarton Oaks a Washington e autore di Essais de poetique des jardins (editore Olschki), sarà premiato sabato 2 luglio, alle ore 17,30, a La Mortola (Ventimiglia), nella magnifica cornice di Villa Hanbury, uno dei giardini botanici più belli d’Europa.

La giuria dei critici, presieduta da Marella Agnelli e composta da Boris Biancheri, Sergio Buonadonna, Annalisa Maniglio Calcagno, Francesca Marzotto Caotorta, Giuseppe Conte, Massimo Venturi Ferriolo, Sergio Givone, Paolo Mauri, Nico Orengo, Paolo Pejrone, Ippolito Pizzetti, Paola Profumo e Giuliano Soria (coordinatore del Premio), proclama Conan vincitore della prima sezione del Premio, dedicata a chi abbia saputo meglio esprimere attraverso la scrittura il sentimento dell’ambiente e della natura.

Conan, massimo esperto del giardino francese del XVII e XVIII secolo, ha rappresentato “poeticamente” le meraviglie naturalistiche e architettoniche dei giardini, con un’attenzione particolare al rapporto giardino – società.

Gli altri vincitori di questa edizione sono:

Vincenzo Cazzato, che con Ville e giardini italiani - I disegni di architetti e paesaggisti dell'American Academy in Rome (Istituto Poligrafico e Zecca dello Stato), vince la seconda sezione, dedicata ai libri di botanica o architettura riguardanti la “cultura” dei giardini e dei fiori, intesa anche in senso fotografico.

Paola Forneris e Loretta Marchi, autrici di Il giardino segreto dei Calvino: immagini dall'album di famiglia tra Cuba e Sanremo (De Ferrari & Devega), che si aggiudicano il premio per la terza sezione, riservata a personalità distintasi nello studio dei giardini e dei fiori, o a volumi dedicati alla storia del giardino e del paesaggio mediterraneo.

Hanno ricevuto un premio speciale i volumi Il libro delle peonie mediterranee (Umberto Allemandi & C.) di Gian Lupo Osti e Il falco e la rosa (Edizioni Grafo - Associazione Carlo Brusa) di Costanza Lunardi e Giorgio Mutti.

La cerimonia sarà preceduta, alle ore 16,30, dal convegno “Il giardino in-difeso”. Interverranno Boris Biancheri (coordinatore), Michel Conan, Sergio Givone, Gian Lupo Osti e Claude Raffestin.

Il Premio Grinzane Giardini Botanici Hanbury fa parte di un più ampio progetto del Premio Grinzane Cavour, che auspica la realizzazione di un “parco culturale” volto alla valorizzazione del territorio inteso come luogo letterario, paesaggistico, architettonico e storico in Liguria così come in altre aree italiane.


::: Noticia generada a las 11:48 AM


 

Fuente: Culturalweb
Fecha: 25-5-05



"VILLE E GIARDINI ITALIANI": L'INCONTRO TRA L'AMERICAN ACADEMY IN ROME E LA CULTURA ITALIANA DEL GIARDINO

In collaborazione con l’Ufficio Studi del Ministero per i Beni e le Attività Culturali, l’American Academy in Rome presenta giovedì 26 maggio “Ville e giardini italiani: i disegni di architetti e paesaggisti dell'American Academy in Rome”, un volume di Vincenzo Cazzato che racconta e “mostra” gli studi dei borsisti americani sull’architettura del paesaggio italiano.

Negli splendidi edifici in cima al Gianicolo che ospitano l’ American Academy in Rome giovedì 26 maggio verrà presentato il nuovo testo di Vincenzo Cazzato, “Ville e giardini italiani: i disegni di architetti e paesaggisti dell'American Academy in Rome”. Il volume affronta, per la prima volta in modo completo e sistematico, l’influenza che la cultura italiana del giardino ebbe sui membri della scuola americana d’arte e letteratura a Roma, che tanto spazio ha dedicato a questa voce dell’architettura. L’importanza del tema della villa presso l’American Academy in Rome non è dimostrata soltanto dai dibattiti e dagli studi dedicati al tema, o dai documenti d’archivio conservati presso la scuola, ma anche dallo stesso ambiente in cui l’Accademia si trova immersa: un immenso parco in cima al Gianicolo, di cui è possibile legger qualcosa anche nel libro di Cazzato.

Il testo è composto da quattro capitoli, cui si aggiunge un ricco catalogo di immagini. Nel volume troviamo anche i saggi dei 6 autori che hanno contribuito al libro di Cazzato: Antonella Bucci, Claudia Conforti, Marcello Fagiolo, Claudia Lazzaro, Laurie Olin, Alessandra Vinciguerra. Il primo capitolo raccoglie saggi su questioni di carattere generale relative al giardino italiano del Novecento e in particolare sulle differenti ottiche con le quali viene letto al di qua e al di là dell’Oceano. Altri saggi vertono sulla sua “fortuna” nella storiografia di quegli anni (con un’ampia antologia di autori italiani e stranieri), sul restauro di alcuni giardini, sulla Mostra fiorentina del 1931 alla quale l’American Academy partecipa con oltre sessanta disegni.

Il secondo capitolo affronta il tema del rapporto fra cultura americana e cultura italiana: il viaggio in Italia degli studiosi americani, il modo di leggere oltreoceano il giardino italiano (e il conseguente trasferimento di modelli), la riscoperta di episodi particolari come i teatri di verzura.

Il terzo capitolo è più specificamente dedicato all’Accademia Americana, all’importanza assegnata da questa istituzione all’architettura del paesaggio, ai concorsi per il “Rome Prize”, ai profili biografici degli architetti e dei paesaggisti più rappresentativi, alle sedi dell’Accademia e ai suoi giardini sul Gianicolo.Nella quarta parte sono analizzati i metodi di rappresentazione impiegati nel disegno dei giardini, oscillanti fra rilievo scientifico e ipotesi ricostruttive, focalizzando l’attenzione sulle due aree nelle quali maggiormente si concentrano le campagne di rilevamento: la Toscana e il Lazio.

Il “Corpus dei disegni”, che occupa la parte finale, comprende circa trecento bellissime planimetrie, sezioni, vedute prospettiche di ville e giardini italiani; un numero di gran lunga superiore rispetto a quelli pubblicati nei volumi di H. Inigo Triggs, di Shepherd-Jellicoe e di Georges Gromort. La ripartizione è per ambiti regionali - Roma, il Lazio, la Toscana, le altre zone d’Italia - con una prima sezione sulle ville di età romana (Villa Adriana in primo luogo) e una finale sui progetti di nuovi giardini. Un’interessante appendice è infine dedicata alle fontane di Roma.

Alla presentazione, che si terrà nella sala lettura dell' Amercian Academy in Rome alle ore 18,00, interverranno Margherita Azzi Visentini del Politecnico di Milano, Marcello Fagiolo del Centro di Studi sulla Cultura e l'Immagine di Roma, Mary Margaret Jones Fellow 1998 dell'American Academy in Rome e Annalisa Maniglio Calcagno dell'Università di Genova.


::: Noticia generada a las 11:41 AM




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