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domingo, mayo 18, 2008 :::
 
Fuente: Ciberpresse (Canada)
Fecha: 10-5-08
Autora:Isabelle Lebrie




Jouer avec la nature

ALMA
Pour le collectif Cédule 40, «Les Jardins éphémères» des célébrations du 400e anniversaire de Québec représentent une suite logique du travail accompli depuis 2006 au Festival international des Jardins de Métis en Gaspésie
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«Notre collectif a d’abord été créé pour participer aux activités des Jardins de Métis. Au fil des ans, nous avons travaillé ensemble à d’autres projets. Et lorsque Québec a lancé l’appel d’offres pour le 400e, l’exemple donné était les Jardins de Métis. Nous avons donc constaté que c’était un filon intéressant et que nous avions toute l’expertise pour soumettre notre candidature», explique Julien Boily.
En 2006, pour sa première année au Festival international des Jardins de Métis, Cédule 40 a imaginé un projet intitulé «Sous terrain de jeu». Il consistait en une balançoire permettant aux visiteurs de semer de l'orge tout en se balançant. La terre avait alors été laissée dans son état naturel, afin de tester comment la nature allait s’installer.
La seconde année, avec «Terrain fertile», le collectif a choisi de lancer un défi à la nature. Il a construit des sillons de terre qui ont été recouverts de plus de 10 000 tuiles de céramique. L’objectif était de créer une terre «infertile», craquelée comme dans les déserts, en supposant que les grains d'orge s'y accumulent et finissent par prendre racine dans cette accumulation de graines. Et c’est effectivement ce qui s'est produit.
Pour la phase trois de cet été, «Terre Ondée», Cédule 40 continue d’expérimenter en utilisant sa balançoire. Cette fois-ci, les surfaces de terre seront transformées en bassins recréant les ondes de l’eau, afin de voir comment les graines réagiront devant ce nouvel «obstacle».
«L’été sera chargé, car nous nous rendrons à Métis immédiatement après le montage à Québec. Nous sommes la première équipe, depuis 9 ans, à recevoir une invitation pour une 3e année pour ce festival», souligne Noémie Payant-Hébert.


::: Noticia generada a las 2:53 PM


viernes, mayo 02, 2008 :::
 

Fuente: Progrès Villeray (Québec, Canadá)
Fecha:14-4-08




Journée de réflexion sur l’avenir du jardinage collectif

Plus de 125 personnes venant des quatre coins de la province ont convergé vers le centre Lajeunesse, le 28 mars, pour prendre part à une journée de réflexion sur l’avenir du jardinage collectif.
Cette journée était organisée par le Regroupement des Jardins collectifs du Québec, lequel a été fondé en août 2007.
Au Québec, les premiers jardins collectifs ont été mis sur pied par des organismes oeuvrant dans le domaine de la sécurité alimentaire. Il s’est développé depuis 1992 une trentaine de réseaux de jardins collectifs, dont celui de la Maison de quartier Villeray.
Actuellement, plus de 3000 jardiniers participent aux activités des jardins collectifs. Ils cultivent une superficie de 40 000 mètres carrés. Les jardins collectifs ont d’abord une mission sociale. Ils veulent favoriser l’autonomie alimentaire et la santé des communautés locales, encourager l’intégration et l’épanouissement des personnes en situation de pauvreté, s’approprier les espaces verts en milieu urbain en respect avec l’environnement. On estime à environ 20 000 le nombre de personnes touchées directement par les divers projets.
La journée a permis aux participants d’assister à des conférences et de prendre part à des ateliers. Ils ont eu l’occasion de faire connaissance et de partager leurs expériences. Les conférenciers étaient Joseph Nars, chercheur de Toronto, Éric Duchemin, de l’Institut des sciences de l’environnement, Matha Stiegman, Julie Lamontagne, Ismael Hautecoeur et Sanou Issakia, agronome à la Maison de quartier Villeray.
Comment maintenir et développer le jardinage collectif dans les villes et villages du Québec ? Quels rôles le jardinage collectif peut-il jouer pour favoriser des villes et villages en santé dans un contexte d’appauvrissement des populations et de détérioration environnementale ? Plusieurs questions ont fait l’objet d’échanges durant cette journée.
Il est notamment ressorti des discussions un désir pour les réseaux de s’associer avec le milieu universitaire pour la production d’études. On a aussi insisté sur le transfert de connaissances entre les responsables des jardins. On a également évoqué la création d’une Journée nationale des jardins collectifs.



::: Noticia generada a las 1:14 PM




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