Recortes de prensa y noticias de jardines (Sección fuera de España)  

Jardines de Francia


Portada de Ciberjob Historico de noticias de los Jardines de Francia Para escribirnos

jueves, septiembre 24, 2009 :::
 

Fuente: Ueb
Fecha: 23-9-09



Francia, un giardino per aiutare i malati d’Alzheimer a ritrovare la memoria


C'è chi si ferma ad ammirare i cespugli di fiori rossi, chi raccoglie le mirabelle in un paniere, chi staziona davanti enormi sculture in pietra e chi siede a risposare o a chiacchierare su una panchina. Siamo nel giardino dell'Orologio, nel cuore della cittadina francese di Nancy, uno spazio pensato per curare o dare sollievo ai malati di Alzheimer.

Nato nel 2007, il centro è gestito dal servizio di riabilitazione all'orientamento geriatrico dell'ospedale Paul-Spillmann e accoglie 44 posti letto anche se dal personale spiegano che le liste d'attesa sono lunghissime.

"È il nostro piccolo feudo" sospira Antoinette, una delle pazienti, mentre passeggia per i viali - "è meno triste che restare chiusi in una camera. Almeno qui mi sembra di essere in vacanza". Poi si volta e torna ad osservare i fiori, quei fiori che le ricordano il passato, quando era lei a curare il giardino di casa.
"Il giardino è stato progettato per avere dei punti di riferimento perché i pazienti hanno difficoltà a orientarsi. Sono dei cammini circolari, senza vicoli ciechi. E poi il giardino cambia a seconda delle stagioni" spiega Therese Jonveaux, medico responsabile del progetto dell'ospedale che, come i suoi colleghi, è convinto che l'approccio medico non sia sempre risolutivo. Spesso la stimolazione cognitiva si rivela il metodo di cura più efficace.

"Tre aspetti lo rendono unico - prosegue Jonveaux - l'estensione, circa quattromila metri quadrati, l'idea di progettazione basata sulla neuropsicologia e una dimensione artistica affidata ad un medico scultore, il dr Reinhard Fescharek".

Il giardino dell'orologio è uno spazio chiuso, quindi sicuro, diviso in quattro zone, ognuna dedicata ad un elemento naturale: l'acqua, Il fuoco, l'aria e la terra. Un piccolo angolo di paradiso per i malati e anche per il personale medico che può incontrare i pazienti ed effettuare le sedute di riabilitazione all'aperto. Anche i familiari vengono più volentieri a far visita ai parenti malati, soprattutto i bambini. Sono incontri molto significativi visto che sono proprio i legami familiari i primi ad essere messi in discussione dalla malattia di Alzheimer.

Di tanto in tanto vengono organizzati degli atelier a tema, come quello dedicato alla raccolta della mirabella che si conclude con la preparazione di torte di frutta.
"C'era un paziente che aveva l'abitudine di piluccare in ogni piatto. Ha raccolto le mirabelle in un paniere e le ha portate in cucina senza toccarne neanche una", racconta uno dei medici.





::: Noticia generada a las 6:07 PM


domingo, septiembre 20, 2009 :::
 

Fuente: Patrimoine en blog
Fecha: 18-9-09


Des palmiers centenaires du Sénat en Anjou
PATRIMOINE HISTORIQUE ET CULTUREL

Les plus vieux palmiers de Paris, plus que centenaires, quitteront le 23 septembre les collections botaniques du Jardin du Luxembourg pour la parc angevin Terra Botanica.Nés à la fin du XIXème siècles, on suppose en Algérie, ces arbres ont aussi une valeur historique. deux d’en eux portent des traces des combats de la libération de Paris en 1944. Devenus trop haut pour être relogés dans les serres du Luxembourg, le sénat a préféré en faire don et leur trouver une nouvelle terre d’accueil…

Communiqué du 17 septembre 2009 :

LES PLUS VIEUX PALMIERS DE PARIS S’ENRACINERONT BIENTÔT EN ANJOU

Le Jardin du Luxembourg dispose dans ses collections botaniques de palmiers plus que centenaires. Ce sont les plus anciens palmiers de Paris. L’été, ils ornent les parterres autour du grand bassin. L’hiver, ils sont placés dans l’Orangerie de l’allée Delacroix.

Chaque année, ces palmiers grandissent en taille d’environs 20 cm. Aujourd’hui 3 d’entre-eux ont atteint, avec leur caisse, la taille de 8,80m soit la hauteur de la verrière de l’orangerie. Sauf à perturber leur croissance ou à réaliser des travaux d’élévation de cette verrière, une solution devait être trouvée pour leur implantation dans un autre lieu.

Ces palmiers ont été implantés en région parisienne à la fin du XIXème siècle, période où se développait en Europe un fort engouement pour la constitution de collections de plantes exotiques dans les grands jardins. L’un d’entre eux provient du parc du château de Versailles et est arrivé pour les mêmes raisons de croissance au Luxembourg en 2001. Les deux autres sont au Luxembourg depuis la fin du XIXème siècle. Sans doute originaires du jardin d’essais du Hamma à Alger dont on sait qu’il fut dirigé par un jardinier en chef du jardin du Luxembourg, puis par son fils. Un palmier porte d’ailleurs les traces de l’histoire du jardin et notamment des blessures infligées par des balles et des éclats lors des combats de la Libération de Paris en août 1944.

Les Questeurs du Sénat ont souhaité en faire don à un jardin botanique et leur choix s’est porté sur Terra Botanica, un parc de 11 ha à forte dimension pédagogique, qui ouvrira ses portes en avril 2010 au nord d’Angers. Ainsi poursuivront-ils leur croissance dans la douceur angevine.
Le 23 septembre 2009 l’enlèvement des palmiers se déroulera dans le jardin du Luxembourg (Terrasse de l’Observatoire- entrée par la grille, rue Auguste Comte.

Déroulement de l’opération

Les palmiers auront été préalablement dépannautés afin de réduire leur motte. Le jour J, chaque palmier subira une même suite d’opérations. Après avoir été arrimés, ils seront soulevés afin de les sortir de leur caisse. Ils seront ensuite délicatement couchés afin de pouvoir travailler leur couronne de feuille : la couronne des palmes les plus anciennes sera taillée et les palmes restantes seront emballées tel un pinceau géant. La motte sera également protégée. Le palmier sera ensuite soulevé afin d’être placés sur le plateau du camion qui doit effectuer la livraison. A 14h30, un palmier devrait être chargé sur le camion, un second sera en cours d’emballage tandis que le 3ème sera en attente de dépotage.




::: Noticia generada a las 12:54 PM


sábado, mayo 16, 2009 :::
 
Fuente: ADN
Fecha:15-5-09
Autor: EFE




Los franceses abren sus jardines al público para la Fiesta de la Naturaleza

La tercera edición de la Fiesta de la Naturaleza en Francia prevé más de 3.000 actividades gratuitas este fin de semana relacionadas con el descubrimiento de los espacios naturales, incluida la apertura de jardines privados al público.

La Fiesta, organizada por las principales asociaciones de preservación de la naturaleza, tiene como objetivo "acercar a los ciudadanos a la naturaleza que se encuentra cerca de su casa", declaró a Efe Chantal Théolas, del comité francés de la Unión Internacional para la Conservación de la Naturaleza (UICN).

Se trata de "un momento excepcional de sensibilización a las urgencias y desafíos de la protección de la biodiversidad", añadió Théolas.

Pasear en bicicleta por los dominios presidenciales de Rambouillet, que estarán abiertos, excepcionalmente, escuchar los cantos de los pájaros junto a expertos ornitólogos, o descubrir las mariposas en el bosque son algunas de las sugerentes actividades programadas en la región parisina.

Entre las novedades de este año está la posibilidad de visitar jardines salvajes privados, que se abrirán al público durante el fin de semana.

"El año pasado 300.000 personas se apuntaron a las 1.500 actividades propuestas. Este año se han doblado las actividades, así que esperamos que también se doble la participación", declaró la delegada general de UICN.
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::: Noticia generada a las 3:26 PM


sábado, febrero 21, 2009 :::
 
Fuente: AFP
Fecha:20-2-09


EL PROYECTO DEL PABELLÓN DE FRANCIA EN LA EXPO DE SHANGAI DE 2010

Creo que es interesante dar un vistazo a esta noticia sobre la propuesta que hace Francia de su pabellón que esta centrado en tres elementos: el agua, el jardín y las innovaciones en la estructura.

La notícia y la maqueta se puede consultar aquí

::: Noticia generada a las 4:20 PM


sábado, septiembre 06, 2008 :::
 
Fuente: Blog.pelerin.info
Fecha: 26-2-08


Restitution du jardin du soleil à Villandry (Indre-et-Loire)

Dans le cadre du centième anniversaire de la restitution des jardins de la Renaissance, Henri Carvallo, l’actuel propriétaire de Villandry, a souhaité réaliser un "jardin du Soleil", en s’inspirant du dessin de son arrière-grand-père, Joachim.
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Le soleil, thème du nouveau jardin de Villandry

Ce jardin occupe la seule parcelle du domaine de Villandry encore inexploitée. Il s’étend ainsi sur une ancienne prairie entourée de tilleuls, située sur la plus haute terrasse du château et domine l’ensemble du domaine.
De 1908 à 1918, Joachim Carvallo a restitué les jardins de la Renaissance du château de Villandry en remplacement du parc à l’anglaise du XIXème siècle. Pour cette terrasse, aujourd’hui occupée par le jardin du soleil, il avait conçu un plan de principe, qu’il n’a pas eu le temps de mettre en espace.
Le jardin du soleil respecte les principes généraux d’organisation des jardins de Villandry et forme un cloître de verdure, planté de tilleuls et de charmes qui est composé de trois chambres :
·La chambre des collections, partie centrale du jardin, où l’on trouve un bassin en forme de soleil, l’étoile à huit branches dessinée par Joachim Carvallo ainsi que des massifs de plantes vivaces.
·La chambre des triangles où de petites allées enherbées formant des triangles serpentent au milieu de rosiers et d’arbustes·La chambre des enfants où sont implantés des jeux de plein air et des pommiers décoratifs
Henri Carvallo a fait appel pour ce jardin à Louis Benech, l’un des grands architectes paysagistes français, qui a dessiné le jardin des triangles et sélectionné la collection de plantes vivaces. Alix de Saint Venant, architecte paysager et propriétaire du château de Valmer, a dessiné la structure générale du jardin et adapté l’étoile à huit branches de Joachim Carvallo. Arnaud de Saint Jouan, architecte en chef des Monuments Historiques, a dessiné le bassin en forme de soleil, point central du jardin.
L’équipe des jardiniers du château de Villandry, menée par Patrick Chaudoy le chef jardinier, a entièrement assuré la réalisation technique. Cette création a débuté pendant l’hiver 2006/2007. Une première étape a pu être photographiée pendant l’été 2007. Les travaux seront achevés au début du printemps 2008 et l’inauguration aura lieu le 20 juin 2008. Le public pourra dès lors découvrir cet espace tout à fait complémentaire des autres jardins, basé sur une agriculture raisonnée, nécessitant peu d’arrosage et dans lequel des solutions naturelles de traitement des plantes pourront être appliquées.

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::: Noticia generada a las 11:36 AM


martes, mayo 20, 2008 :::
 
Fuente: Rennes.Maville
Fecha:14-5-08


Les jardins et parcs font parler d'eux

Pour son « Année jardins 2008 », la Ville organise pendant plusieurs mois une grande exposition sur l'histoire des parcs et des espaces verts

« On a voulu présenter l'histoire des jardins de Rennes à travers leurs différents usages » explique Catherine Laurent, directrice des Archives municipales de la ville de Rennes. Ce qui surprend dès l'entrée de l'exposition au CIU (Centre d'information sur l'urbanisme), c'est la transformation de la petite cour pavée en un mini-jardin fleuri de pensées. Sur le côté, la pelouse est même traversée de minuscules îlots de plantes aromatiques. Ce jardinet de 300 m2 a été créé spécialement pour les besoins de l'exposition, comme l'explique Cyril Lomet, de la Direction des jardins : « C'est un aménagement temporaire qui a été fait pour donner aux visiteurs une idée des différents types de jardins possibles »

« Histoire (s) de jardins, usages et paysages de Rennes » est le fruit du travail conjoint des Archives municipales et de la Direction des jardins. Dans l'enceinte du CIU, sous la forme d'un labyrinthe, l'exposition invite à une promenade dans le temps et dans l'espace. On y rencontre aussi bien des documents anciens, comme ce plan de la Visitation de 1738, que des cartes représentant des projets récents, tel l'aménagement de Beauregard.

Au fil de la visite, le promeneur suit un chemin balisé par six thèmes, autant d'usages possibles des jardins : la « terre nourricière », l'espace de jeu, le jardin d'agrément, l'espace pédagogique et le désir de nature. La septième et dernière partie est consacrée au rapport à l'urbanisme.

Le parc du Thabor est plusieurs fois mis en valeur : « C'est un jardin à la française aménagé par Denis Bühler qui est très représentatif de son époque. En plus, Bühler était un des paysagistes les plus en vogue du XIXe : Rennes avait donc ce qui se faisait de mieux ! » explique Louis-Michel Noury, historien et président du Conseil scientifique de l'exposition.

Les habitants s'expriment

Tout au bout du hall central du CIU se trouve une curieuse salle. Des panneaux recouverts de photos d'enfants et de nature cachent parfois des bébêtes étranges et pleines d'humour, en métal et papier mâché. Ici s'exprime la créativité des habitants.

Pendant quelques semaines, ils ont travaillé avec des artistes autour d'un thème, dans des ateliers mis en place spécialement pour cette exposition originale. « On a voulu donner la parole aux gens pour qu'ils présentent eux-mêmes leur quartier et leur propre usage des jardins », explique Eloïse Kraus, chargée de mission à la mairie. Six expositions se succéderont ainsi. Actuellement, le quartier Nord-Est présente ses créations sur « la faune ».

Toujours dans le cadre de son « Année jardins 2008 », la Ville de Rennes organise aussi des visites, concerts, et autres animations. Un cycle de conférence a ainsi débuté le 13 mai avec Louis-Michel Noury, sur le thème « La promenade urbaine au XIXe siècle ».

Pratique. L'exposition « Histoire(s) de jardins, usages et paysages à Rennes » se tient du 7 mai 2008 au 24 janvier 2009 au Centre d'information sur l'urbanisme, 14, rue Le Bastard, 02 23 62 15 90, ciu@ville-rennes.fr


::: Noticia generada a las 2:03 PM


sábado, mayo 03, 2008 :::
 
Fuente: Bloc.com
Fecha: 15-5-08

Le château de Villandry, un joyau dans un écrin de jardins


Le château de Villandry installé à 15 km à l'ouest de Tours est connu principalement pour la beauté de ses jardins en terrasse. Il fut le dernier des grands châteaux bâtis sur les bords de Loire à l'époque de la Renaissance.

Le château de Villandry est un site remarquable à plus d'un titre. Dans son écrin de verdure domestiquée, la pierre de l'édifice est sans conteste sublimée. Le style du château de Villandry est également assez exceptionnel puisqu'il préfigure le style Classique français (style Henri IV) tout en ancrant ses racines dans la beauté baroque du style Renaissance. Construit en fin d'époque Renaissance comme Azay-le-Rideau, ce château est sans nul un incontournable sur la route des châteaux de la Loire.

La genèse du château de Villandry

Le château de Villandry était à l'origine une construction féodale classique présentant un donjon. Elevé au bord du Cher, ce château féodal bâti pendant le Moyen âge avait une vocation uniquement défensive. Il dépendait du château de Tours et s'appelait à l'origine Colombiers. Contrairement aux autres fortifications classiques de l'époque, ce château primitif n'était pas bâti sur une hauteur mais au bas d'un coteau. Très vite, Colombiers marqua son empreinte dans l'histoire de France puisque c'est dans ses murs qu'Henri II, Philippe Auguste et Richard coeur de lion signèrent « la Paix de Colombiers ». Ce traité historique signifiait la suprématie du Roi de France sur les seigneurs des provinces dont notamment les Plantagenêt. Au 14e siècle, le château de Villandry passe rapidement de la famille de Craon, à celle de Chabot pour finir entre les mains de Jean Le Breton, Ministre des finances de François 1er en 1532. Ce dernier qui a assisté son Roi pour la réalisation des travaux du château de Chambord trouve dans Villandry un espace à la mesure de ses envies de bâtisseurs. Le nouveau château s'appuie sur une préfiguration de Villandry érigée par le Ministre près du château de Chambord, Villesavin.

De Jean Le Breton à Joachim Carvallo

Jean Le Breton décide dès 1532 de s'appuyer sur une partie de la construction médiévale existante pour bâtir son chef d'oeuvre. Il garde ainsi le donjon de l'angle Sud-Ouest et débute la construction qui s'achèvera en 1536. Lorsque Jean Le Breton meurt en 1556, le château est légué à sa descendance. Le domaine ne prendra son nom définitif de Villandry qu'en 1639. Plus d'un siècle plus tard, en 1754, le château est vendu au comte Michel-Ange de Castellane. Cet homme fin et lettré est ambassadeur du roi. Il entreprend de vastes travaux d'aménagement dont la démolition de l'escalier à vis remplacé par un escalier droit, la construction des dépendances dans le style classique. L'intérieur du château est également entièrement réaménagé dans le style du 18e siècle. En 1906, le château menacé de démolition change de nouveau de mains. Il est acheté par la docteur Joachim Carvallo qui imaginera les 3 jardins du château : le potager décoratif, le jardin d'ornement et le jardin d'eau. Ces jardins d'inspiration Renaissance font aujourd'hui la réputation du château de Villandry.

Le saviez-vous ?

Joachim Carvallo est l'arrière grand-père des actuels propriétaires. Passionné par son rôle de conservateur privilégié de l'histoire de France, il est le fondateur en 1924 de la première association de propriétaires de châteaux historiques et est également le pionnier de l'ouverture d'un monument historique au grand public.


::: Noticia generada a las 2:44 PM


viernes, abril 25, 2008 :::
 
Fuente: 50’z
Fecha: 12-4-08

Les Plus Beaux Jardins de France en 2008
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L'association "Les Plus Beaux Jardins de France" accueille en 2008 le "Champ de Bataille", un nouveau jardin dans l'Eure créé par le célèbre décorateur Jacques Garcia. Cela porte à 8 le nombre de jardins présents dans cette association. Découvrez-les !

Les Plus Beaux Jardins de France accueillent en 2008, Champ de Bataille

A propos de Champs de Bataille, Jean de la Varende écrivait : "ici règne l'ampleur. Le décor n'intervient qu'après la déclaration de puissance " c'est cette puissance qui a décidé Jacques Garcia à racheter le domaine en 1992.

Nés de la main d'un grand paysagiste, peut être Le Nôtre en personne, ces jardins qui ont été sans doute somptueux, mais dont le temps avait effacé la dernière trace, renaissent désormais grâce à l'inspiration de Jacques Garcia, réalisés avec la complicité de Patrick Pottier, son chef jardinier ?

" Faire Grand et viser Haut : mon ambition perpétuelle trouve ici sa concrétisation la plus aboutie où je reprendrai pour faire mienne la définition de Daniel Boulanger " Embellir, c'est se sauver du peu, s'élever au dessus du sol, je crois au sonnet, à la cantate, à la Sixtine " Jacques Garcia.

C'est aussi la vocation de ce site : Viser Haut. Une ambition permanente pour ces jardins qui sont des oeuvres végétales à part entière, vivantes et éphémères et proposent ce qu'il y a de mieux aux visiteurs.

L'association "Les plus beaux Jardins de France"

Créée en 2007, l'association "Les Plus Beaux Jardins de France" regroupe les plus beaux jardins de France et a pour vocation de promouvoir les Jardins en France et à l'étranger à travers son site internet : http://www.lesplusbeauxjardinsdefrance.com/.

Alors qu'elle réunissait sept jardins, Champs de Bataille vient s'ajouter à cette liste dès la saison 2008.

Ces « Sept/huit Merveilles de France » sont des jardins :
  • exceptionnels bénéficiant d’une grande notoriété et ouverts à un large public
  • qui constituent un élément déterminant dans l’offre présentée aux visiteurs
  • recommandés par tous les grands guides
  • parfaitement entretenus par des jardiniers professionnels
  • ouverts sept jours sur sept, au minimum de Pâques à la Toussaint
    offrant un accueil de qualité garanti par une gestion privée ;

La gestion reste un critère déterminant. Tous ces jardins sont en effet animés par leur propriétaire ou par des professionnels de l’accueil touristique.

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Une séléction des plus beaux Jardins de France

La Bambouseraie de Prafrance, dans le Gard


Une forêt de bambous géants unique en Europe, avec des aménagements paysagers exceptionnels tels le Bambusarium, le labyrinthe végétal, le jardin aquatique, le village laotien, les magnifiques serres victoriennes.

Fidèle à l’esprit de son créateur visionnaire et homme de cœur, Eugène Mazel, la Bambouseraie défend une approche à la fois humaine, botanique et culturelle de ce jardin dont la vocation est aussi de réunir et de rapprocher les hommes, de faciliter les rencontres, de croiser et de relier les savoirs et les passions.


Lieu d’échanges et de culture, cet arboretum unique en Europe, recense de très nombreuses espèces végétales dont les collections n’ont cessé d’être enrichies au fil du temps.


Jardins et parc de Breteuil dans la Vallée de Chevreuse


Classés « Monument Historique » et « Jardin remarquable »
Le jardin à la française d’Achille Duchêne, avec ses parterres de buis, ses charmilles taillées, et son miroir d’eau, le « Jardin des Princes » tout en senteurs et en couleurs, le labyrinthe aux mille buis crée en 2000, le parc à l’anglaise et ses arbres tricentenaires, les étangs romantiques font de Breteuil l’un des plus beaux sites d’Ile-de-France.

Des personnages historiques crées spécialement par le musée Grévin habitent le château parmi les objets d’art et les tableaux. Quant aux héros des contes de Perrault, ils sont partout : Cendrillon et le jeune Prince dansent dans le pavillon du labyrinthe, le Petit Poucet est réfugié dans le fruitier de l’ogre et le Chat Botté trône dans l’écurie…


Breteuil est un haut lieu du Parc Naturel Régional de la Haute Vallée de Chevreuse.


Le Château de Chenonceau, dans le Val de Loire


Construit sur la rivière, berceau de la Renaissance Française, le Château de Chenonceau, le Château des Dames, est l’un des monuments les plus aimés, les plus connus, les plus visités. Ses jardins à la Française, symbole du romantisme, sont le témoignage éclatant du goût et du raffinement de leurs inspiratrices : Diane de Poitiers et Catherine de Médicis.

Les jardins de Diane de Poitiers et de Catherine de Médicis sont ornementés d’une multitude d’espèces rares, de centaines de rosiers grimpants et tige. Le Potager et la Ferme du XVIème siècle sont également réputés. Un labyrinthe planté de 2000 ifs et dessiné d’après un plan italien de 1720, est agrémenté en son centre d’une gloriette habillée d’osier vivant.


Jardins du Manoir d'Eyrignac, dans le Périgord Noir


A un jet de pierre de Sarlat, le Manoir et les jardins d’Eyrignac, monuments historiques sont dans la même famille de Patrick Sermadiras de Pouzols de Lile depuis plus de 500 ans. Ce jardin de verdure, au cœur d’un domaine de 200 hectares, se décline dans toutes le camaïeu de verts des ifs, buis, charmes et cyprès.

Ce sont les volumes des topiaires qui font toute l’intelligence d’Eyrignac : sculptures végétales, chambres de verdure, broderies de buis, parterre à la française…


La diversité des formes semble ne pas avoir de limite, tout en restant en harmonie avec les lignes architecturales du Manoir et le domaine naturel préservé de 200 hectares qui entoure cet écrin. Ce jardin onirique semble brodé tel une tapisserie de buis, d’ifs et de lierre qui débouche sur les haies et les cônes de l’allée des charmes.


Vaux le Vicomte, en Ile-de-France : Jean Charles de Vogüe


De tous les jardins créés par André Le Nôtre, c’est celui de Vaux-le-Vicomte où l’on découvre le plus clairement la grammaire du jardin classique dont il déclina partout ailleurs les exercices et les variations.

Les terrasses qui entourent le château sont ornées de fleurs et de broderies de buis et les suivantes sont constituées de pelouses. Ce programme végétal est agrémenté de surprises sous forme d’échappées latérales, d’illusions qui manipulent la vision et les distances. Et partout, de l’eau, en abondance, dormante ou jaillissante, totalisant aujourd’hui 9 ha répartis en 24 bassins (contre 40 en 1661).


Dans les sous-sols du château une exposition dédiée à l’œuvre de Le Nôtre recrée l’atmosphère d’un jardin à la française et permet aux visiteurs de découvrir les principales œuvres du paysagiste –jardinier qui ornent les environs de Paris.


L’exposition s’achève par une extraordinaire maquette interactive racontant la création des jardins de Vaux, et soulignant les règles qui caractérisent l’œuvre de Le Nôtre.


Villandry, dans le Val de Loire :


Villandry, le dernier des grands châteaux Renaissance bâti sur les bords de la Loire, est surtout connu pour ses jardins, répartis sur trois niveaux, qui allient esthétisme, diversité et harmonie. Le potager décoratif mêle fleurs et légumes, régularité du plan en damier et foisonnement des plantes. Au fil des saisons, les cultures se succèdent proposant un tableau végétal en trois dimensions, toujours renouvelé.

Dans le jardin d’ornement, les buis forment représentent des symboles musicaux mais aussi et surtout des cœurs, volutes, papillons, éventails… allégories de l’amour tendre, de l’amour passionné, de l’amour volage et de l’amour tragique.


Le jardin d’eau quant à lui est le plus apaisant : le bassin y joue un rôle prépondérant ; le bruit des fontaines et les grands espaces de pelouse apportent calme et tranquillité au visiteur. C’est le jardin le plus paisible qui soit, idéal pour se ressourcer ou… pour rêver !


L’ensemble du site est complété par le jardin des simples qui regroupe les plantes médicinales et culinaires et le labyrinthe de charmilles, où les enfants, comme les plus grands aiment à se perdre.


Villa Ephrussi Rothschild à St-Jean-de-Cap-Ferrat


Ce véritable Palais, dominant sa péninsule, est l’un des plus beaux monuments historiques de la Côte-d’Azur. Lieu de villégiature de tout ce que l’Europe et l’Amérique du Nord compte de plus élégant et de plus fortuné, le Cap Ferrat est choisi en 1905 par la Baronne Ephrussi de Rothschild pour édifier une de ces "folies", inspirées des grandes demeures Renaissance de Venise et Florence.

La Villa est entourée par neuf magnifiques jardins à thèmes où le visiteur peut découvrir, au hasard de sa promenade, l'ordonnancement du jardin à la française, la végétation luxuriante des jardins espagnol et florentin, la richesse de la roseraie, les essences rares du jardin exotique ou les vestiges archéologique du jardin lapidaire.


Aujourd’hui, la villa est le seul lieu historique de la Côte-d’Azur ouvert au public, témoignage de ces demeures des milliardaires qui, à la Belle Epoque, ont "créé" la Riviera.



::: Noticia generada a las 3:53 PM


 
Fuente: Bloc.com
Fecha: 9-4-08


Le jardin ouvrier

Un jardin ouvrier est une parcelle de terrain mise à la disposition de ses habitants par la municipalité et devant être aménagée par son propriétaire. Appelés également « jardins familiaux », les jardins ouvriers ont une part non négligeable dans l’aménagement du territoire français.

L’histoire du jardin ouvrier

Les jardins ouvriers ont intégré le mode de vie français suite à la diffusion de ces espaces au 19ème siècle. La création de tels jardins vient de l’idée d’un abbé également homme politique nommé Jules Lemire. Les jardins ouvriers furent créés avec pour finalité l’amélioration de la vie des ouvriers en leur offrant le grand air, une terre à cultiver en famille pour avoir des vivres. En 1895, la Ligue française du coin de terre et du foyer vit le jour par l’initiative de Jules Lemire. Cette institution permit à ses membres d’avoir plus aisément accès aux parcelles de terres, qu’ils cultivaient par la suite pour leur autosubsistance.
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A Paris, la Société des jardins ouvriers de Paris et banlieue contribue à l’expansion du concept et porta à 1515 le nombre de jardins ouvriers de la région parisienne. Mais c’est la banlieue de Paris qui comporte la moitié de ces jardins recensés. Les deux guerres mondiales ont également contribué à l’extension des jardins ouvriers. En effet, par nécessité, de nombreuses parcelles de terrains historiques sont transformés en potagers durant les années de guerre et bon nombre le sont restées après. Ces terres furent octroyées à des personnes qui avaient besoin d’un endroit à cultiver et pour vivre. C’est la raison pour laquelle on recensa 250 000 jardins ouvriers sur le territoire français au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. Ce fut en 1952, précisément le 26 juillet que le terme de « jardins familiaux » fut adopté lors d’un vote de loi. Actuellement, les jardins ouvriers ont une large côte auprès des défenseurs de l’environnement et du bien être naturel. Les demandes de parcelles se font très nombreuses, excédant de loin l’offre, rendant encore plus difficile la répartition des terrains.

Comment se compose un jardin ouvrier ?

Un jardin ouvrier est une parcelle de terrain cultivé par son propriétaire après acquisition de celle-ci. Il comporte habituellement des fruits ou des plantes potagères dans un but nourricier. Aucun usage commercial n’est permis avec les produits qui y sont cultivés. Ceux-ci sont destinés à la consommation familiale, donc à la subsistance.

La beauté d’un jardin ouvrier ne peut être obtenue que par l’effort de son propriétaire. S’il est créatif, il peut le remplir, en plus des plantes potagères, de fleurs décoratives pour en donner un meilleur aspect. L’entretien du jardin en sera plus contraignant, mais son travail portera ses fruits. De grands arbres, de petits arbustes, des plantes rampantes, des fleurs, des arbres fruitiers et des légumes enfouis peuvent tous trouver leur place dans un jardin ouvrier. Il faut du temps et surtout la motivation nécessaire pour produire assez pour la famille.

Les formalités autour des jardins ouvriers

Pour pouvoir faire l’acquisition d’un jardin ouvrier, il faut être un particulier, en général un père de famille, nécessiteux, inscrit à la commune qui fait offre des terrains. A une certaine période, on faisait presque la queue pour obtenir des parcelles de terrains. Mais les critères d’affectation pris en compte restent l’appartenance de la personne à la commune, sa mixité sociale et la proximité géographique du lieu de résidence de la personne. En effet, les jardins ouvriers font partie du patrimoine culturel et artistique d’une ville, leur entretien doit donc se faire régulièrement et ne pas se résumer aux week-ends.

La gestion des jardins ouvriers est effectuée par des associations privées déclarées et reconnues d’utilité publique. Tout usage commercial du terrain est proscrit par la loi en vigueur depuis 1901. L’utilisation de la parcelle ainsi obtenue reste strictement personnelle. Les contrevenants à ces réglementations vont au devant de situations équivoques avec la municipalité.

Le saviez-vous ?

En France, des concours de jardins ont lieu chaque année dans plusieurs villes et villages. Les habitants s’empressent de donner à leur jardin un aspect exceptionnel. Les prix sont offerts aux propriétaires des jardins les plus fleuris et aux décors potagers les plus exclusifs et évidemment, les possesseurs de jardins ouvriers y participent.


::: Noticia generada a las 3:18 PM


miércoles, febrero 13, 2008 :::
 

Fuente: News Press
Fecha: 6-2-08
Autor: Conseil Régional du Centre


Le Conseil Régional du Centre est le nouveau propriétaire du château du domaine de Chaumont-sur-Loire


Nouvelle propriétaire du château, la Région assure désormais la conservation des biens et la présentation du site au public. Elle transmettra la connaissance de son histoire et ambitionne d'en faire « le 1er centre international d'art et de
Situé sur les bords du fleuve royal entre Amboise et Blois, le domaine de Chaumont-sur-Loire offre un magnifique panorama sur la vallée classée au Patrimoine mondial de l'Humanité. Château, écuries, dépendances et collections, tout ce qui en fait un lieu « magique et hors du temps », de la plus petite pierre aux décors somptueux voulus par Diane de Poitiers, tout entre aujourd'hui dans une nouvelle ère.
« La Région Centre est l'une des 1ère collectivités à s'être portée candidate à l'acquisition d'un domaine national », explique François Bonneau. « Puisqu'il a toujours été à l'avant-garde de la création, de l'élégance et de la fantaisie, alors notre devoir est de pérenniser l'esprit Chaumont dans le temps ; de permettre à tous les publics, de la région comme aux touristes étrangers, de le découvrir. »
Qu'il rayonne dans le monde et dans le 21ème siècle
L'ambition de la Région est de faire de Chaumont « le 1er centre international d'art et de nature ». Dressé face à la Loire sur un coteau abrupt, le château se trouve également à la lisière d'un parc somptueux. Un environnement naturel qui, il y a 17 ans, inspira Jean-Paul Pigeat dans la création du Festival des Jardins. La prochaine édition s'ouvre le 30 avril pour se refermer en octobre prochain. Vous serez cette année encore plus de 160 000 à vous abandonner à la contemplation des 27 nouveaux jardins, déclinés en 2008 sur le thème « du partage ». Et le « partage » d'être le maître mot qui guide la région dans son action : « Les artistes dialogueront avec les espaces du château qui accueilleront des oeuvres contemporaines », explique Chantal Colleu-Dumond, directrice de l'Etablissement Public de Coopération Culturelle (EPCC) du domaine de Chaumont-sur-Loire. Quand la culture rencontre la natureEn effet, le plasticien grec Jannis Kounellis, figure de l'Arte Povera, sera l'invité du domaine pour trois ans, la Région lui ayant commandé une oeuvre qui sera exposée dans le château. Deux résidences de création sont prévues durant l'été, avec Erik Samakh et Victoria Klotz. Une sculpture monumentale de l'Allemand Rainer Gross sera installée dans le parc.
Le domaine proposera également plusieurs expositions de photographies: les « jardins familiaux » d'Edouard Boubat et Robert Doisneau, le « potager du roi » de Jean Rault, des images aériennes d'Alex MacLean, des clichés monumentaux d'Andreas Gursky et des nocturnes de Michel Séméniako, ainsi que des concerts et des fêtes, de mai à décembre.

En pratique
Château de Chaumont - 41150 Chaumont sur Loire
Tél : 02 54 20 99 22 Fax : 02 54 33 90 35
Mail : contact@domaine-chaumont.fr
Site Internet : www.domaine-chaumont.fr

::: Noticia generada a las 7:22 PM


martes, febrero 05, 2008 :::
 
Fuente: Culture (Gobierno de Francia)
Fecha: 4-2-08

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6e édition de Rendez-vous aux jardins sur le thème du Voyage des plantes du 30 mai au 1er juin 2008
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Tulipes d’Orient, pivoines de Chine, œillets d’Inde, roses de Damas, arbres de Judée, maïs d’Amérique, érable du Japon, tulipier de Virginie, laurier du Portugal… le voyage des plantes a largement contribué à façonner les paysages de l’Antiquité à nos jours. Ce thème ne se limite pas seulement à l’aspect botanique et horticole des jardins, il se décline également selon une approche historique, scientifique, culturelle, économique, esthétique.

Depuis la plus haute Antiquité, la quête des plantes exogènes est synonyme de puissance. De Magellan à Louis-Antoine de Bougainville, James Cook ou encore La Pérouse, les grandes expéditions botaniques ont marqué leur époque jusqu’à aujourd’hui par leur apport inestimable en introduisant de très nombreuses plantes.

Le voyage des plantes a contribué à développer également une pharmacopée renouvelée grâce aux nouvelles découvertes. Ces dernières ont provoqué un profond changement de nos habitudes culinaires.

Si plus de 30 000 plantes sont recensées aujourd’hui, Carl von Linné, illustre botaniste dont on fête cette année le tricentenaire de la naissance, en avait à lui seul répertorié, identifié et décrit 8 000. L’évolution régulière de notre connaissance du monde végétal a conduit à envisager récemment la protection des espèces connues. Depuis la convention de Washington (1992) et la réglementation du commerce, les espèces végétales sont désormais protégées au même titre que les espèces animales.

Enfin, le voyage des plantes a toujours suscité l’intérêt pour la nouveauté, la curiosité des amateurs de jardins.

Parmi les temps forts qui viendront ponctuer les “Rendez-vous aux jardins” :- le vendredi 30 mai sera, sur inscription préalable, réservé aux scolaires.- le samedi 31 mai et le dimanche 1er juin, les jardiniers, les propriétaires et administrateurs de jardins rencontreront les visiteurs et expliqueront leur travail. Certains jardins resteront, ces jours-là, ouverts jusqu'au crépuscule.
Amateurs ou novices, enfants ou adultes, personne ne restera insensible à cette nouvelle édition de Rendez-vous aux jardins.
Cette manifestation a su devenir le rendez-vous culturel des « beaux jours » avec une progression continue depuis 2003 du nombre de jardins ouverts de 930 parcs et jardins en 2003 à 1 905 en 2007 avec près de 1,7 million de visiteurs.

Rendez-vous aux jardins est une manifestation créée et organisée par le ministère de la Culture et de la Communication, en étroite collaboration avec le Comité des Parcs et Jardins de France. Cette opération est soutenue par le Centre des monuments nationaux et les associations de propriétaires de jardins : la Demeure Historique, les Vieilles Maisons Françaises, et par un grand nombre de collectivités territoriales.

La ministre de la Culture et de la Communication remercie Gaz de France, Moët Hennessy, Truffaut, Ricola, et l’Union nationale des entrepreneurs du paysage (UNEP), partenaires de cette sixième édition de Rendez-vous aux Jardins.
Pour illustrer le thème de cette année, le ministère de la Culture et de la Communication et le Conseil national des parcs et jardins organisent une journée d’étude sur le voyage des plantes le 6 février à l’Institut national du patrimoine (Auditorium Colbert, 2 rue Vivienne, Paris 2e).


::: Noticia generada a las 8:09 PM


viernes, enero 25, 2008 :::
 
Fuente: Publiblog
Fecha: enero 2008

Cahors : Balade médiévale de jardin en jardin

Sur un scénario inédit, Cahors met en scène son patrimoine au fil d’une collection de jardins secrets. Celle-ci s’est enrichie en 2006 de 4 créations, portant à 29 le nombre total des jardins où se dévoilent les riches heures du Moyen Age, âge d’or pour la cité cadurcienne.
Pour les découvrir, il suffit de se munir du plan disponible à l’Office de Tourisme et de se laisser guider par les feuilles d’acanthe en cuivre fixées au sol.
Enchâssés au sein des vieux quartiers, les jardins secrets dessinent un parcours permettant une découverte originale du secteur protégé de la ville (soit environ 300 édifices et maisons anciennes). « Le jardin mauresque », « Le préau céleste », « L’herbarius », « La cour des copistes », « Le Pourpris du vert galant », … : d’un jardin à l’autre, le promeneur se retrouve ainsi plongé, à la feuille de sureau près, dans l’imagerie, les croyances, les us et coutumes d’une époque fascinante.
On suit l’itinéraire selon son envie, en appréciant le sérieux de l’évocation historique mais aussi la légèreté d’un spectacle rafraîchissant.
Lauréats d’une multitude de prix et de distinctions au niveau national, les jardins secrets de Cahors sont l’oeuvre du pôle municipal « Nature, cité et jardins » qui affiche un dynamisme et une imagination réjouissants.
Alors que de nouveaux jardins secrets sont en projet pour 2007, l’équipe municipale travaille sur un autre concept : les jardins du savoir.
Il s’agit de faire découvrir le monde des arbres et de la botanique par une mise en valeur contemporaine des espaces publics de la ville. Deux jardins du savoir sont déjà en place : « Morus », parking botanique exclusivement planté de mûriers (parc-relais St- Georges) et « Roji », jardin de thé japonais (auditorium du Pays de Cahors).
Cahors, nouveau venu dans le cercle des villes d’Art et d’Histoire
Chef-lieu du Lot, Cahors est entré début 2006 dans le cercle prestigieux des Villes d’Art et d’Histoire. Selon la convention passée avec le Ministère de la Culture, Cahors s’engage donc à faire vivre, animer et valoriser un patrimoine jugé exceptionnel. Le programme d’actions se met progressivement en place, avec l’arrivée en juin 2006 de l’Animateur du Patrimoine et la programmation des visites estivales « patrimoine et jardins » avec guide conférencier. A noter que le Lot compte deux autres détenteurs du label national avec Figeac (ville d’Art et d’Histoire) et la Vallée de la Dordogne (Pays d’Art et d’Histoire).

Comité Régional du Tourisme Midi-Pyrénéeswww.tourisme-midi-pyrenees.com

::: Noticia generada a las 12:52 PM


domingo, diciembre 09, 2007 :::
 
Fuente: Le Monde
Fecha: 28-11-07
Autor: Emmanuel de Roux


La restauration longue et coûteuse du domaine de Chantilly


Indispensables, longs, coûteux, peu spectaculaires, les travaux pour la sauvegarde du domaine de Chantilly (Val-d'Oise) ont commencé en 2007. Déjà le jardin de la Volière, dans le parc du château, est accessible au public, qui peut, par ailleurs, avoir une idée du chantier en visitant l'exposition programme ouverte au Musée Condé et dans le Jeu de paume.

Comment payer ces lourdes factures ? L'Institut de France, propriétaire des lieux, n'en a plus les moyens - même avec le concours de l'Etat. En 2005, Chantilly souffrait d'un déficit d'exploitation annuel de 500 000 euros. Le chancelier de l'Institut, à l'époque Pierre Messmer, avait donc demandé à l'Aga Khan, richissime chef spirituel des Ismaéliens et voisin du château des Condé, de bien vouloir piloter ces travaux, en faisant acte de mécénat.
Ce dernier avait ainsi créé une Fondation pour la sauvegarde et le développement de Chantilly, dont la durée de vie est de dix ans. Sur cette période, la Fondation verse 40 millions d'euros. L'Institut, l'Etat, et les collectivités territoriales complètent cette somme à hauteur de 30 millions d'euros. "Il faut arriver à doubler ces 70 millions d'euros par du mécénat", indique Danièle Clergeot, la directrice générale de la Fondation.
La première tranche des travaux étendue sur trois ans touche d'abord le parc (286 hectares). Celui-ci est en très mauvais état. "Il avait été particulièrement négligé, explique Serge Darroze, responsable des travaux du parc et des jardins. On estime toujours que les arbres peuvent attendre. Or ces derniers sont notamment menacés d'asphyxie par la remontée de la nappe phréatique."
Ici, l'eau affleure partout : le parc a été installé sur un terrain spongieux. Il est indispensable de curer les canaux et les pièces d'eau, de revoir tout le système hydraulique. "En revanche, cette abondance a des effets spectaculaires. Il sera possible, à terme, de faire jouer les grandes eaux sans interruption", explique Serge Darroze.

450 000 VISITEURS

On en est loin : il faudra attendre plusieurs années avant que le parc ne soit totalement remis en état. Car ce dernier, complexe, est composé d'une série de jardins qui ont tous leur singularité. Le jardin à la française, avec son grand canal et ses immenses perspectives, a été imaginé au XVIIe siècle par Le Nôtre. Le XVIIIe siècle a laissé un petit parc d'attractions dont il reste quelques traces (les ruines d'un énorme jeu de l'oie) et un jardin anglo-chinois installé quelques années avant la Révolution, avec son hameau et la maison "champêtre" de Sylvie. De retour d'émigration, vers 1820, le prince de Condé et son fils le duc de Bourbon, derniers propriétaires de Chantilly, demandent à l'architecte Victor Dubois les plans d'un jardin à l'anglaise.
Il ne suffit pas de réhabiliter le parc, il faut aussi mieux accueillir les quelque 450 000 visiteurs : installer un nouveau et discret parking - à caser derrière un mur existant -, relever les murs, restaurer et réaménager le hameau et la maison de Sylvie pour y loger un salon de thé, un espace pédagogique pour les enfants et des salles polyvalentes. Il est également prévu de créer sur 148 hectares un parcours pour apercevoir la surabondante faune sauvage qui hante les lieux - le domaine de Chantilly est adossé à une forêt de plus de 7 000 hectares. Une deuxième tranche de travaux vise le château, qui abrite les célèbres collections de peintures et la bibliothèque rassemblées par le duc d'Aumale, qui légua l'ensemble de son domaine à l'Institut de France en 1886.
Une fois le domaine en ordre de marche, Chantilly devra trouver un équilibre économique. "Le chiffre d'affaires annuel de Chantilly est de 5 millions d'euros. Pour faire tourner le domaine, il faut 3 millions de plus", constate Mme Clergeot. Comment faire ? Augmenter le nombre des visiteurs ? Il y en a eu 280 000 en 2006 pour le seul château, soit 20 % de plus qu'en 2005. Mais il faut respecter la fragilité du lieu : le château ne peut pas accueillir plus de 3 000 personnes par jour.
Quant au parc, il ne sera jamais Disneyland : "Nous travaillons dans le respect de ce que nous a légué l'histoire", assure Mme Clergeot. La Fondation Aga Khan a racheté pour 10 millions d'euros le Musée du cheval installé dans les somptueuses Grandes Ecuries et doit le moderniser en conservant la présentation vivante du dressage des chevaux.
On peut tenter aussi de jouer de la synergie avec l'hippodrome (qui appartient aussi à l'Institut) loué à France-Galop. Mais les turfistes se révéleront-ils amateurs de peinture et d'architecture ?



"Le Domaine de Chantilly, d'hier à demain", château de Chantilly (Val-d'Oise). Tél. : 03-44-27-31-80. Du mercredi au lundi, de 10 h 30 à 17 h 30, Jusqu'au 6 janvier 2008.


::: Noticia generada a las 6:15 PM


domingo, septiembre 30, 2007 :::
 
Fuente: El Mundo
Fecha: 28-9-07
Autor: Ignacio Bazarra (EFE)


SU JARDÍN ES EL MÁS VISITADO DE FRANCIA

El castillo de Villandry, un sueño español en el valle del Loira





VILLANDRY (FRANCIA).- En 1906 Joaquín Carvallo, un médico de Don Benito (Badajoz), compró con la fortuna de su esposa el castillo de Villandry, a orillas del río Cher, uno de los afluentes del Loira. 100 años después, su jardín neorrenacentista es el más visitado de Francia.
"El doctor Carvallo buscaba la armonía perfecta entre el palacio y el jardín", explica Henri Carvallo, de 43 años, que evoca el sueño hecho realidad por su bisabuelo mientras, orgulloso de sus orígenes, enseña sus posesiones a los turistas.

El castillo de Villandry, de 1536, fue construido por Juan el Bretón, secretario de Estado de Francisco I, el rey francés que tantas guerras libró con Carlos I de España.

Tras pasar el palacio por varias manos, incluidas las napoleónicas, en el siglo XIX se destruyó el jardín original renacentista para sustituirlo por un jardín inglés, menos costoso de mantener. Pero la historia del castillo cambió para siempre de la mano de un extremeño visionario y heredero de aquellos que se lanzaron a conquistar el nuevo mundo.

Carvallo había nacido en 1869 en Don Benito. La muerte temprana de su madre y la desaparición posterior de su padre, tras un segundo matrimonio, dejó a los ocho hermanos Carvallo en una difícil situación. Pero Joaquín, tras estudiar brillantemente la carrera de Medicina en Madrid, viajó a París a trabajar con el doctor Charles Richet, que en 1913 ganaría el Nobel por sus investigaciones en Fisiología.

Sin embargo, su vida dio un giro inesperado al coincidir en el laboratorio de Richet con una joven becaria de Lebanon (Pensilvania, EEUU), Ann Coleman, heredera de un importante negocio siderúrgico, de quien se enamoró mientras discutían acaloradamente sobre la guerra que entonces (1898) enfrentaba a sus países.

Con la fortuna de los Coleman, los Carvallo huyeron de París y buscaron una casa en la que vivir plácidamente con sus tres hijos y donde poder colgar la colección de arte español del XVII que habían ido acumulando y que hoy, 100 años después, muestra su bisnieto Henri a los visitantes: Zurbarán, Alonso Cano, Juan de Arellano, Berruguete...
Imbuido de una gran religiosidad, Carvallo abandonó la medicina y se dedicó en cuerpo y alma a devolver su antiguo esplendor a Villandry, un "caserón" semiderruido por el que había pagado 120.000 francos a un anciano farmacéutico local.

Entre los muros del castillo, el médico español abrazó el misticismo castellano de la mano de Santa Teresa, San Ignacio de Loyola y San Juan de la Cruz. "El arte -decía Carvallo- nace de una larga contemplación de la naturaleza mediante la cual el espíritu humano penetra en la esencia íntima de las cosas ... y se eleva hasta Dios en un esfuerzo supremo".

Para recuperar el jardín renacentista, el dombenitense recurrió a fuentes documentales, como el tratado de Androuet de Cerceau sobre los palacios del XVI o el 'Monasticon gallicanum', un conjunto de grabados sobre los jardines de las abadías benedictinas.
Uno de los jardines del castillo.

La clave de Villandry

Pero la clave de Villandry fue la contratación de dos paisajistas andaluces, Antonio Lozano y Javier de Winthuysen, que imprimirían a los jardines ese aire morisco y español que atrae cada año a cientos de miles de visitantes.

"Cada vez vienen más españoles", asegura Henri mientras recorre la huerta y rememora el importante trabajo desarrollado por Winthuysen, el primero de una carrera paisajística que le llevaría a ser considerado el jardinero de la generación del 27 y a recuperar los jardines del Palacio de la Moncloa.

Los jardines de Villandry están hoy divididos en cuatro áreas temáticas: el jardín ornamental (dedicado al amor tierno, el amor apasionado, el amor infiel y el amor trágico), el jardín del agua, el jardín de las hierbas aromáticas y medicinales y el huerto.

Este último, inspirado en los huertos monacales y que juega con los vivos colores de los puerros, las lombardas, las remolachas o las calabazas, nació en la Primera Guerra Mundial, cuando Carvallo descolgó la bata blanca para atender a los soldados heridos, cobijados en el palacio, y tuvo que darles de comer.

Tras destacar en la década de los años veinte como un mecenas del arte español en Francia, Carvallo fundó la 'Demeure Historique', la entidad que permitió la recuperación y apertura al público de propiedades históricas en manos privadas.

'Joachim' Carvallo -como le llaman en Francia- murió en 1936. Fue enterrado en la iglesia local y no en el cementerio porque, según recuerda su aristocrática familia, "no quería que la resurrección le sorprendiera al lado de un socialista".


::: Noticia generada a las 12:39 PM


 
Fuente: Informativos Telecinco
Fecha:29-9-07


París se conecta a Internet sin cables

La capital francesa estrena el acceso gratuito a Internet vía wifi en 225 jardines, parques, bibliotecas, museos y sedes de asociaciones. Los usuarios de ordenadores que dispongan de tarjeta wifi podrán acceder a Internet sin necesidad de cables en todos estos lugares.


El alcalde de París, Bertrand Delanoe, ha tomado como ejemplo San Francisco y se ha apoyado en el Consejo Regional de Ile de France, que le presta la financiación, para poner en marcha esta iniciativa.

De momento, el ancho de banda está limitado a ocho megas por punto con un máximo de veinte usuarios, lo que impide la descarga de archivos pesados. El horario también tiene límites.

Por la noche, el cierre de los edificios públicos y los jardines hace que la red no esté disponible. Sin embargo, los usuarios pueden conectarse a cualquier hora desde dos puntos: la explanada del Ayuntamiento y los Campos de Marte, cerca de la Torre Eiffel.

El servicio wifi se puso en marcha el pasado julio pero surgieron problemas de conexión. Hasta finales de octubre, está previsto llegar a los 400 puntos de conexión, de los cuales más de la mitad serán zonas verdes. LGC


::: Noticia generada a las 12:03 PM


viernes, agosto 10, 2007 :::
 
Fuente: Paris.fr
Fecha: 4-8-07



Les musées de la Ville vous ouvrent leur jardin !


PARIS

Sur les quatorze musées municipaux, sept disposent de cours intérieures plantées de végétation ou de jardins verts et fleuris, pour certains insoupçonnables depuis la rue. Profitez de l'opportunité de réaliser à la fois une sortie culturelle et une pause nature.

Sur le thème de la découverte, nous vous proposons une balade estivale un peu particulière. Choisissez votre météo et ne minutez pas votre temps pour profiter de ces escales artistiques et champêtres au coeur de Paris. L’accès à ces jardins, comme aux collections permanentes, est gratuit.

Jardin Musée du Petit Palais

Si le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris est entouré de jardins-promenades classiques, entre les Champs-Elysées et les quais de la Seine, son jardin intérieur n’en est pas moins grandiose. Rénové en 2005, son accès reste libre tout comme l’accès aux collections permanentes des musées municipaux.

Faites une halte sous les palmiers pour déguster une boisson ou un en-cas autour des bassins de mosaïque de style 1900. Le bâtiment monumental du musée, avec son péristyle en arc de cercle, semble penché sur ce patio.

Av. Winston-Churchill (8e). Tél. 01 53 43 40 00


Jardin du Musée Carnavalet

Le musée Carnavalet, musée de l’histoire de Paris a élu domicile en plein Marais dans deux hôtels articuliers datant des XVIe et XVIIe siècles. Les avant-cours étaient de taille à recevoir les carrosses et demeurent majestueuses et paisibles, derrière les portes monumentales sur rue.

Quant aux cours intérieures, arborées et fleuries “à la française”, elles disposent de bancs de teck, idéals pour lire face à une statue baptisée l’Immortalité, tout un programme! Un autre jardin clos, semé de plantes médiévales,n’est accessible qu’en été et certains jours.

23, rue de Sévigné (3e). Tél. 01 44 59 58 58


Jardin du Musée Cognacq-Jay

Le musée Cognacq-Jay, musée du XVIIe siècle de la Ville de Paris ne fut inauguré qu’en 1929 en l’Hôtel de Donon, une ancienne maison de ville du XVIe siècle. Le petit jardin clos de style “à la française”, est ouvert de mi-mai à mi-septembre et selon des horaires restreints (renseignez-vous).

Les collections permanentes regroupent des objets du XVIIIe siècle de la collection particulière d’Ernest Cognacq, fondateur de la Samaritaine.

8, rue Elzévir (3e). Tél. 01 40 27 07 21


Jardin du Musée de la Vie Romantique

Le Musée de la Vie romantique, hôtel Scheffer-Renan, situé au-dessus de la place Saint-Georges dans un quartier très dense, fait figure de paradis retiré de la rue. Une allée arborée mène à la maison principale du XIXe siècle, avec ses volets vert amande, nichée dans son jardin entre les immeubles voisins.

Une charmante verrière, accolée à la maison, abrite une grotte artificielle, alors très en vogue. Tables et chaises en métal sont à disposition sous la véranda et dans le jardin. Attention, son atmosphère “romantique” est courue! Le salon de thé est ouvert de 11h30 à 17h30 jusqu’en octobre.

16, rue Chaptal (9e). Tél. 01 55 31 95 67


Jardin du Musée Galliera

Le Musée Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris depuis 1977, est un bâtiment du XIXe siècle, légué par la duchesse de Galliera à la Ville. Situés face au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, ces jardins sont rêvés pour profiter du soleil, tandis que la fontaine d’Avril y bruisse de fraîcheur!

Vous pouvez également vous asseoir dans le patio ombragé avant de continuer votre visite. Ce musée n’accueille que des expo temporaires.

10, av.Pierre-Ier-de-Serbie (16e). Tél. 01 56 52 86 00


Jardin du Musée Zadkine

Dénicher l’entrée discrète du Musée Zadkine, au coeur du quartier latin, offre une récompense.Une fois dans son jardin, une petite allée sinueuse mène à l’atelier du sculpteur, qui vécut là jusqu’à sa mort en 1967.

Ce jardin de maison de poupée, est planté des sculptures expressionnistes d’Ossip Zadkine, autour de minuscules bassins aux nénuphars.

100 bis, rue d’Assas (6e). Tél. 01 55 42 77 20


Jardin de la Maison de Balzac

La Maison de Balzac à Passy est une folie du XVIIIe siècle, adossée à la colline de Chaillot. Le troisième étage, où l’écrivain a achevé sa Comédie humaine au rythme d’une petite vingtaine d’heures par jour, ouvre sur un accueillant jardin en terrasse, exposé plein sud.

Ainsi perché, à l’ombre des platanes, il surplombe la Seine et plonge sur Paris. Excessivement dépaysant avec ses pavés, son gazon rustique, ses arbustes et ses rosiers, ce jardin au charme provincial est le lieu idéal pour bouquiner ou réfléchir au sens du travail d’écrivain.

47, rue Raynouard (16e). Tél. 01 55 74 41 80


Jardin du Musée Bourdelle

Le Musée Bourdelle avec ses trois jardins aux pieds de la tour Montparnasse constitue une improbable enclave de calme au cœur d’un quartier hyper bruyant. Son jardin extérieur, peuplé d’un cheval monumental en bronze et de statues de toutes tailles, est visible au travers des grilles sur rue.

Les deux jardins intérieurs, eux, où cohabitent d’innombrables statues entre les arbres, les massifs et les allées ombragées, ne se découvrent qu’au-delà de l’atelier du peintre, émouvant car conservé en l’état après sa mort en 1929.

16, rue Antoine-Bourdelle (15e). Tél. 01 49 54 73 73

::: Noticia generada a las 10:57 AM


jueves, junio 28, 2007 :::
 
Fuente: AV Maroc
Fecha: 18-6-07
Autor: AFP


Château de Versailles: des parcours-promenade pour handicapés


La ministre de la Culture Christine Albanel a inauguré lundi quatre parcours-promenade dans les jardins du château de Versailles (Yvelines) dédiés aux personnes à mobilité réduite et réalisés avec le soutien de la Fondation Gaz de France.


"Il existait déjà des projets pour les personnes à mobilité réduite dans le projet du Grand Versailles (rampes d'accès, ascenseurs...), mais les jardins continuaient à être problématiques. Nous avons alors réfléchi à la manière de les rendre accessibles", a indiqué à l'AFP Christine Albanel.

Les personnes à mobilité peuvent dorénavant emprunter un ascenseur pour se rendre dans les jardins et suivre un itinéraire afin de rejoindre les quatre parcours aménagés.

"Ce projet peut paraître facile mais en fait il a été très difficile à mettre en place car à Versailles tout est classé. On ne peut pas utiliser les revêtements que l'on veut. On ne peut pas mettre du béton dans les allées par exemple. Le jardin contient aussi des pentes plus importantes que l'on ne pense, qui obligent à faire des détour... Tout y est complexe", a poursuivi la ministre qui a arpenté les allées du château avec le nouveau président de l'établissement, l'ancien ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon.

Les quatre parcours sont faits en sols stabilisés et sont desservis par des parkings réservés aux personnes à mobilité réduite.

"Nous envisageons aussi de faire la même chose dans la partie du parc dédiée à Marie-Antoinette. Venir à Versailles est toujours une grande joie pour moi d'autant que des associations se sont fortement mobilisées sur ce projet", a conclu Mme Albanel.

::: Noticia generada a las 9:00 PM


domingo, mayo 13, 2007 :::
 

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Fuente: France 3F
Fecha: 11-5-07
Autor: AFP

Paris: inauguration des jardins d'Eole samedi
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Les jardins d'Eole, derniers nés des parcs parisiens, avec leurs 4,2 hectares à la limite des XVIIIe et XIXe arrondissements, vont être officiellement inaugurés samedi. Reconquis sur des terrains appartenant à la SNCF et à Réseau ferré de France, ce nouveau parc se veut surtout le premier totalement écologique de Paris. Ainsi, la grande prairie, pièce centrale de ce parc, est fauchée à la main, les feuilles des arbres et arbustes sont conservées sur place pour faire du compost, et les eaux de ruissellement sont recueillies afin de servir à l'arrosage des plantes, moins de 6% des eaux drainées étant au final rejetées dans les égouts. De même, l'ensemble des bâtiments présents sur le parc ont été conçus selon une démarche HQE (haute qualité environnementale), avec des toitures végétalisées et une traçabilité totale des bois utilisés pour les constructions. Très hétérogènes, ces jardins d'Eole comprennent une grande esplanade en stabilisé, mais aussi une "grande prairie", un quai en bois, un canal planté de végétaux aquatiques, un jardin de graminées ou encore un jardin de graviers. La décision de créer ce parc remonte à une décision du Conseil de Paris en 2001, et sa conception a été confiée, après appel d'offres, à l'équipe d'urbanistes et paysagistes de Michel Corajoud. Première également: un sociologue a été largement associé à la conception de ce parc et de ses différents espaces, afin de permettre une adéquation la plus complète possible entre les désirs des habitants du quartier et les idées des paysagistes et urbanistes.


::: Noticia generada a las 10:17 AM


domingo, abril 29, 2007 :::
 


JARDINS REMARQUEABLES
DE FRANCIA
En la web de Parcs et Jardins de Francia se puede encontrar la lista de los 288 jardines que tienen tal distinción ,organizados de forma territorial.




::: Noticia generada a las 12:48 PM


martes, abril 17, 2007 :::
 

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Fuente: Webcity
Fecha: 16-4-07
Autora: Morgane Cléon

Marseille:Ces Jardins Remarquables

Le 21 avril c'est la Journée des Plantes à Marseille. L'occasion idéale pour découvrir les petits coins de verdure de notre belle région. En France, 200 parcs bénéficient de l'appellation "Jardin Remarquable" institué par le Ministère de la Culture. Zoom sur 5 de ces jardins extraordinaires.

Le mystérieux Jardin de l'Alchimiste à Eygalières a recréé une évocation florale de la recherche de la pierre philosophale. Après la visite du labyrinthe d’Eleagnus, des plantes magiques et des 3 jardins noir, rouge et blanc, dégustez un élixir de fleurs du jardin. A vous la vie éternelle ?
A 2 pas du métro 5 Avenues se déploient un palais entouré d'un ancien jardin zoologique. Le jardin est construit comme un écrin autour du précieux château d'eau. Et même si les animaux n'habitent plus le lieu depuis 1987, vous pouvez observer au Parc Longchamp les pavillons de la girafe, celui de l’éléphant et les cages aux fauves ornées de céramiques turquoises.
Amis de l'équilibre et de la géométrie, bienvenues au Jardin de la Magalone. Entourant la Bastide, le parc est parfaitement symétrique : 2 terrasses, 2 fontaines représentant le Nord et le Sud, 4 statues symboles des saisons, tout est en nombre pair. Palmiers et chênes chevelus ornent ce typique jardin à la française.
Dans le petit village d'Eguilles se cache un jardin d'artiste, celui du sculpteur contemporain Max Sauzé. Sur rendez-vous, admirer les œuvres accrochées aux arbres ou cachées dans la végétation comme la "Bibliothèque de l'Ecureuil". Un bassin de nénuphars, une 2CV retapée et un platane géant : le décor est planté.
4 jardins en 1, voilà ce que propose le Parc du 26ème Centenaire. Dans la partie provençale, un "bancaou" (terrasse) abrite des plantes aromatiques. Des palmiers pour le jardin arabo-andalou, des dunes pour l'Afrique, l'Asie est représenté par le bassin de nénuphars d'un authentique jardin japonais.

Sélection d'adresses
Jardin de l'Alchimiste


::: Noticia generada a las 12:08 PM


domingo, febrero 11, 2007 :::
 
Fuente: China.org
Fecha: 6-2-07


Un jardin paysagé de Suzhou va « apparaître » à l'ONU

Les paysages charmants et ravissants de la Chine vont faire leur apparition prochainement au siège de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) à Paris.Un responsable du Département de gestion des jardins paysagés de la ville de Suzhou, Province du Jiangsu, en Chine Orientale, a révélé que le Jardin « Yi Yuan » (nom provisoire), lequel est une copie des jardins paysagés classiques de Suzhou apparaîtra dans la capitale française en tant que projet culturel offert par le gouvernement chinois à l'UNESCO. L'esquisse et l'avant-projet de « Yi Yuan » sont déjà mis au point par le Bureau d'études des parcs paysagés de Suzhou, alors que les plans et les documents concernés ont été remis et présentés à l'UNESCO pour approbation.

Un jardin paysagé installé sur un terrain à prix d'or

La réalisation à l'intérieur du siège de l'UNESCO à Paris d'un parc paysager traduisant parfaitement les particularités culturelles traditionnelles de la Chine vient de l'idée de Zhang Xinsheng, Président du Bureau exécutif de l'UNESCO, qui a formulé cette proposition durant la deuxième moitié de l'année 2005. Après de mûres réflexions il a été finalement décidé de construire un jardin paysagé en copiant ceux de Suzhou.
Paris est un centre mondial de culture et d'art universellement reconnu et on y trouve partout de beaux sites et de monuments historiques. Le siège de l'UNESCO est installé tout juste au centre de cette belle ville. Le bâtiment qui abrite ce dernier ainsi que le parc environnant ont été construits au milieu des années 50 du siècle dernier. L'UNESCO est en fait la plus grande organisation internationale intergouvernementale de l'ONU. La partie chinoise a décidé de construire « Yi Yuan » à l'intérieur du parc sur un terrain de forme angulaire de 700 mètres carrés de surface.

Le jardin projeté représentera pleinement les paysages pittoresques chinois

L'apparition au siège de l'UNESCO d'un jardin paysagé d'une ville chinoise est en fait une chose ni étonnante ni surprenante, car les jardins classiques de Suzhou représentent typiquement la peinture à grands traits des paysages chinois. Les paysagistes de la Chine antique observaient strictement le principe artistique du respect et de l'imitation de la nature et ont pu créer dans les villes un environnement habitable artistique composé de paysages champêtres, de montagnes, de rivières, de constructions, ainsi que d'arbres et de fleurs.
Lorsque l'information, selon laquelle le jardin paysager de Suzhou a été choisi pour être installé au siège de l'UNESCO, est parvenue à la ville, les autorités concernées ont réagi immédiatement en établissant au début de juin dernier un groupe chargé de la conception du jardin qui sera construit à Paris. Elles ont dépêché à plusieurs reprises à Paris des concepteurs-projeteurs pour étudier sur place, ce qui les a permis de modifier les plans une dizaine de fois et c'est ainsi que le présent avant-projet a été réalisé et mis au point.

Le nom « Yi Yuan » vient de « Zhou Yi »

De source bien informée le nom « Yi Yuan » tire son origine de « Zhou Yi », un ouvrage classique de la Chine antique qui préconise le concept naturel de la tradition chinoise et qui traduit l'idéal des Chinois de s'adapter à la nature, de se mettre à sa recherche et de s'entendre avec elle de façon harmonieuse. Et cela est entièrement conforme aux aspirations des créateurs des jardins paysagers de Suzhou.
Selon Yi Xueling, Directeur du Bureau de gestion des jardins paysagés et des espaces verts de la ville de Suzhou, il est prévu au total huit groupes de paysages pour « Yi Yuan », lesquels seront répartis dans les diverses zones du jardin.
L'avant-projet du jardin en question doit être tout d'abord examiné par le Comité artistique de l'UNESCO, puis approuvé par l'Assemblée générale de celle-ci et par le gouvernement municipal de la ville de Paris et sa version définitive sera décidée par la suite.
« Si tout se passe normalement, " Yi Yuan" pourrait être mis en chantier à Paris dans le courant de cette année » a déclaré Yi Xueling.

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domingo, enero 21, 2007 :::
 
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Fuente: Jardins de Maroc
Fecha: 15-01-07


2007: «année des jardins à Paris»
Paris respire mieux!



J.M - 22 nouveaux squares et jardins s'ajouteront cette année à la liste des espaces verts de la ville des lumières, dont 3 grands jardins : le jardin Clichy-Batignolles d'une superficie de 4,3 hectares dans le 17ème arrondissement, le jardin d'Eole d'une superficie de 4,2 hectares dans le 18ème arrondissement qui sera ouvert en mars prochain et un jardin d'une superficie de 18.300 mètres carrés, implanté sur l'espace de l'ancienne « petite ceinture » ferroviaire de la ville, dans le 16ème arrondissement et qui sera ouvert, quant à lui, en juin prochain.


Avec ces nouvelles ouvertures, la métropole française devrait réjouir d'ici mars 2008 d'une superficie d'espaces verts estimée à 32 hectares qui a nécessité un investissement de 46 millions d'euros.

Ce projet d'envergure touchera aussi l'extension de certains jardins anciens, comme l'extension des jardins des serres d'Auteuil et du parc de la Bagatelle, la plantation de 15.000 m2 de pelouses dans l'ancien club de tir à l'arc du bois de Boulogne, l'extension du square Casque d'Or dans le 20ème arrondissement, la rénovation du square Léon à la Goutte d'Or dans le 18ème arrondissement. L'installation d'un jardin éphémère sur le parvis de l'hôtel de Ville est prévue également de mai à septembre.

D'ici mars 2008, Paris va atteindre l'objectif des 100.000 arbres ou presque avec 99.200 arbres le long de ses boulevards comme l'a indiqué l'adjoint à la mairie de Paris chargé de l'environnement M. Yves Contassot.

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lunes, julio 31, 2006 :::
 
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Fuente: Le Monde
Fecha: 7-7-06
Autor: Emmanuel de Roux


A Chaumont-sur-Loire, l'art du jardin se donne un air de parc d'attractions

Des ballons géants qui glissent sur la végétation, un trampoline cerné de (faux) coquelicots, un toboggan qui atterrit entre deux miroirs : le Festival international des jardins de Chaumont s'est-il transformé en parc d'attractions pour enfants en bas âge ? Pour sa quinzième édition, l'inventeur de la manifestation, Jean-Paul Pigeat, avait défini le thème : "Jouer au jardin", qui devait se décliner dans chacun des 30 enclos de 100 m2, cerné d'une haie de hêtres. Sa mort brutale (Le Monde du 7 octobre 2005) ne lui a pas permis de participer au jury, qui a choisi 30 lauréats parmi les 300 dossiers reçus pour cette cuvée 2006. La tradition Pigeat a pourtant été suivie : les inventions séduisantes cohabitent avec les loupés, les installations à la limite du land art le disputent avec des traitements strictement paysagers.


Parmi ces derniers, l'un des plus réussis est Un, deux, trois... quatre ?, jardin réalisé par Ludovic Smagghe, Nicolas Menu et le collectif Mooslin : deux vagues de pelouses ondulées, plantées d'une infinie variété de trèfles et encadrées par des murs de pisé (argile, sable, gravier). A cette élégance d'une belle simplicité, il ne manque même pas la touche écolo - le pisé, matériau à la mode.

Côté installations flirtant plus ou moins avec les arts plastiques, Agnès Mory, Yves Magnier et Thierry Saclier d'Arquian, qui vivent tous les trois en Belgique, proposent On aurait dit que..., un jardin qui renvoie aux jeux d'enfants élaborés avec trois bouts de ficelles. Ici, le trio a bricolé avec du matériel de récupération un paysage miniature, au centre duquel trône une sorte d'enclos, à base de bribes de béton, de déchets informatiques et de rebuts indéfinissables. L'ensemble est d'une belle invention poétique.

DES JEUX DE MIROIRS À FOISON

Peut-être faut-il ranger sous la même rubrique la Folie douce à la villa Conchiglia, de Caroline Perrin et Marine Duvivier. La façade qui s'ouvre derrière un jardin sec - cactus et galets - renvoie pourtant à une mémoire historique : celle des grottes de coquillages qui ornaient les parcs de la Renaissance italienne, mais aussi à l'univers brut et naïf du facteur Cheval. Cache-cache à travers les extravagantes, de Laurence Kaisergruber, Christine Alban et Sarah Leterrier, est un jardin de curé kitsch, peuplé de choux et d'artichauts, de coloquintes et de passiflore, ainsi que de planches d'aggloméré découpées, le tout démultiplié par des jeux de miroirs, dont la plupart des créateurs usent et abusent cette année à Chaumont.

Certains ont carrément transformé leur jardin en terrain de jeu (de l'oie, de balles, de marelle, de rôle, de toupie...). L'exercice est le plus souvent raté. A l'exception de Benjamin Jacquemet et Carolyn Wittendal, qui proposent un vaste échiquier où les pièces à déplacer sont d'énormes poubelles métalliques, montées sur roulettes et remplies d'une végétation débordante, avec lesquelles on peut disputer de vraies parties d'échecs. Il faut enfin mentionner la séduisante cabane de Pascale et Christian Pottgiesser, double hélice à l'intérieur de laquelle on peut grimper, planquée au milieu d'un bosquet de bambou conçu par Atlanscène.

La question de l'avenir du Festival de Chaumont va se poser cette année de manière aiguë. Christian Mary, successeur de Jean-Paul Pigeat, est, comme ce dernier, directeur du conservatoire de Chaumont, pilote de la manifestation mais aussi administrateur du château et de son parc historique. Le château est géré par une association qui tire 78 % de son budget de ses ressources propres (le reste étant complété par la région Centre). Le parc est sous la tutelle des Monuments historiques. Or la propriété de cet ensemble doit être transféré dans les prochains mois à la région Centre. Son président, Michel Sapin, devait présenter le projet de transfert et de gestion du site à la commission permanente du conseil régional, vendredi 7 juillet, avant de le transmettre à l'Etat.

::: Noticia generada a las 11:03 AM


sábado, junio 24, 2006 :::
 
Fuente: Le Moniteur
Fecha:15-6-06
Autora: Nathalie Moutarde

Une résille souple pour le jardin des Halles à Paris

Chargé, en décembre 2004, de la maîtrise d’œuvre urbaine du projet de rénovation des Halles, David Mangin s’est également vu confier la conception et la réalisation de l’aménagement du jardin. Le 29 juin, il présentera ses premières propositions au groupe de travail thématique "jardin" mis en place dans le cadre de la concertation sur la rénovation du quartier.

Un jardin de 4,3 ha, unitaire, de plain-pied, ouvert et mieux intégré aux quartiers environnants remplacera l’espace actuel, très morcelé et "cabossé". Un cours dont la largeur a été réduite par rapport à la proposition initiale relie la Bourse du Commerce au Carreau, dont le concours d’architecture sera lancé à la fin de l’année.

Deux plinthes végétales, au nord et au sud, le long des rues Berger et Rambuteau, permettent d’assurer la mise à niveau du jardin et intègrent les entrées au forum, les services nécessaires à l’entretien du jardin…

Le mail existant de tilleuls et de marronniers, au sud, est conservé et une nouvelle lisière, fortement plantée, au nord, bordant la prairie centrale lui répond.L’ensemble du jardin est organisé sur la base d’une résille dont la maille (module de base de 60 m2) permet de nombreuses compositions tout en gardant l’unité dans ce lieu relativement étroit. Dans la prairie centrale, des aires de jeux, des atolls plantés, des ru(bancs) trouvent leur place. Devant le Carreau, des jeux d’eau et de lumières, un jardin de musique et des modules pour évènements éphémères sont proposés pour animer et sécuriser les traversées et les accès au Carreau. Cette maille permet aussi d’intégrer de nombreuses contraintes techniques inhérentes au site (notamment dues à la présence de locaux en sous-sol). Les travaux d’aménagement du jardin devraient démarrer au cours du premier semestre 2008.

::: Noticia generada a las 11:34 AM


viernes, junio 09, 2006 :::
 
Fuente: Le Monde
Fecha: 2-6-06
Autor: Emannuel de Roux

Quatre jours pour mettre le nez dans le jardin

A quelques jours de l'inauguration, à Paris, d'un nouveau jardin public, celui du Musée du quai Branly, créé par Gilles Clément, le ministère de la culture organise, du vendredi 2 juin au lundi 5, dans toute la France, la quatrième édition de l'opération Rendez-vous aux jardins, centrée sur le thème du parfum.


Des animations et de nombreuses visites guidées auront lieu dans mille sept cents parcs et jardins, publics ou privés. Certains seront ouverts spécialement pour l'occasion.
Le parc du XVIIIe siècle du château de Jallerange, à Recologne (Doubs), le jardin médiéval du château du Haut-Koenigsbourg à Orschwiller (Bas-Rhin), les chambres de senteurs du jardin contemporain des Olfacties à Coëx (Vendée) et les créations récentes du Moulin de Thonnance-lès-Joinville (Haute-Marne) ainsi que le Parc floral d'Apremont-sur-Allier (Indre) déclineront tout particulièrement le thème de l'année. Le Jardin des cinq sens à Pontoise (Val-d'Oise), ainsi que celui du château de Montriou, à Feneu (Maine-et-Loire), sont particulièrement aménagés pour les malvoyants.

Parmi les jardins contemporains ouverts pour cette édition de Rendez-vous aux jardins, il faut aussi noter le Jardin Plume à Auzouville-sur-Ry (Seine-Maritime) ; les jardins ouvriers de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), créés par le comité d'entreprise d'Alsthom en 1992 ; ainsi que Mosaïc Culture à Houplin-Ancoisne (Nord) imaginé sur 33 hectares par le paysagiste Jacques Simon, au coeur du parc de la Deule. Avec La Seine-et-Marne Couleur Jardin, ce département prolonge l'opération du ministère de la culture jusqu'au 2 juillet. En vedette : le parc à l'anglaise d'Aunoy, un des premiers du genre, à Champaux.

Tecomah, l'Ecole de l'environnement et du cadre de vie de Jouy-en-Josas (Yvelines), propose pour la quatrième fois, dans son parc de 120 hectares, ses Environnementales, biennale d'art contemporain, "dans et avec la nature". Huit plasticiens internationaux ont été conviés.
A Paris, quatre-vingt-dix professionnels investissent le Carré des sangliers aux Tuileries pour la troisième édition de Jardins, jardin (jusqu'au 4 juin) : modèles à reproduire, ateliers, démonstration.
Enfin, il ne faut pas oublier, parmi les classiques, le 15e Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (jusqu'au 15 octobre), dont le thème est, cette année, "Jouer au jardin".

Rendez-vous aux jardins : www.culture.fr ; Seine-et-Marne Couleur Jardin, www.seine-et-marne.fr et 01-64-87-37-81 ; Tecomah, www.tecomah.fr et 01-39-67-12-00 ; Jardins, jardin aux Tuileries, www.jardinsjardin.com et 01-39-63-48-19 ; Festival de Chaumont-sur-Loire, www.chaumont-jardins.com et 02-54-20-99-22. Le Jardin contemporain, d'Hervé Brunon et Monique Mosser, éd. Scala, 128 p., 15 €.

::: Noticia generada a las 6:41 PM


miércoles, mayo 31, 2006 :::
 
Fuente: El Pais
Fecha: 6-5-06
Autora: Pilar Gómez-Centurión

PRIMAVERA EN EL BARRIO LATINO DE PARÍS
REPORTAJE
Verde para jugar y meditar

Tres deliciosos jardines cambian el ritmo del periplo parisienseCada uno en su estilo, estos tres jardines expresan lo que ha sido la jardinería de finales del siglo XX y muestran las tendencias del futuro. Con tres premisas: descubrimiento del jardín zen, recuperación y uso de jardines históricos, y búsqueda de un lenguaje nuevo, sostenible desde el punto de vista ecológico.

1 Visiones de Noguchi
SEDE DE LA UNESCOA pesar de encontrarse en pleno centro, muy cerca del Hôtel des Invalides, la sede de la Unesco no está en los recorridos turísticos. El edificio, sin embargo, se puede visitar con cita previa y el desplazamiento merece la pena porque contiene obras de Picasso, Henri Moore, Calder, Giacometti, Tàpies, Dani Karavan, un gran mosaico de Joan Miró y un pequeño y desconocido jardín japonés del escultor Isamu Noguchi.
El conjunto, proyectado en los años cincuenta por los arquitectos Breuer, Nervi y Zehrfuss, pretendía ser un modelo de compenetración entre arte y diseño, a lo que contribuye en buena medida este Jardín de la Paz, un espacio puramente contemplativo que Noguchi realizó entre 1956 y 1958, adelantándose a la fascinación por el mundo oriental. Noguchi utilizó tres elementos característicos: la piedra, el agua y la montaña. Al tratarse de un patio, no hay influencia del exterior, pero sí están las especies típicas de la jardinería nipona: azaleas, camelias, arces, cerezos, magnolias, nenúfares y bambúes. El resultado es un espacio de líneas asimétricas y contornos orgánicos que se equilibran logrando una delicada armonía, aparentemente espontánea, entre escala, formas y volúmenes. En 1988, unos meses antes de su muerte, Noguchi volvió a París para reorganizar su evolución.

2 Romántico y escultórico
MUSEO RODIN
Apenas 15 minutos de paseo separan la plaza de Fontenoy de la calle de Varenne. Aquí se encuentra el Museo Rodin, que desde su creación, en 1916, es uno de los más visitados de Francia. Tal afluencia se debe, sin duda, al interés que el personaje y su obra siguen despertando, pero también al singular encanto del Hôtel Biron y sus dos hectáreas de jardín, con acceso independiente, donde se exhibe una parte de la colección de esculturas. Auguste Rodin descubrió este palacete del siglo XVIII gracias a sus amigos el poeta Rainer Maria Rilke y la escultora Clara Westhoff, que tenían alquilada la planta baja. Era el 3 de septiembre de 1908, y las destartaladas dependencias se alquilaban por cantidades irrisorias a escritores y artistas. En él vivían el poeta Jean Cocteau y el pintor Henri Matisse. Buena parte de su atractivo la constituye el viejo jardín cubierto de musgo, rosales y nomeolvides. Conserva árboles magníficos y ha adquirido ese aire de indefinible melancolía que tienen los jardines abandonados. Enamorado del lugar, Rodin trasladó parte de su obra y pasó en él largas temporadas. Tres años más tarde es adquirido por el Estado, pero el escultor se niega a desalojarlo. Por fin llegan a un acuerdo, Rodin dona a Francia su obra y todas sus colecciones con la condición de que queden instaladas, para siempre, en el Hôtel Biron.
En 1993, el paisajista Jacques Sgard llevó a cabo una modélica restauración del jardín, devolviéndole su trazado clásico. Está a la altura de las esculturas que exhibe, pero no compite con ellas. Es también un reducto de calma. Bajo la copa protectora de los tilos, las tumbonas de teca diseminadas por la exedra y las mesas de la cafetería representan una tentación irresistible.

3 Verde contemporáneo
PARQUE ANDRÉ CITROËN
Muy distinto a los anteriores es el parque André Citroën, situado junto al Sena en los terrenos que ocupaba la fábrica de automóviles, al oeste de París. Un depurado ejemplo de jardín contemporáneo, inaugurado en 1993, que la ciudad enseguida hizo suyo. Fruto de una estrecha colaboración entre tres arquitectos (Patrick Berger, Jean-Paul Viguier y Jean-François Jodry) y dos paisajistas (Alain Provost y Gilles Clément), se caracteriza por una sólida base arquitectónica en la que se articulan jardines temáticos. Una gran explanada verde que desciende hacia el río constituye el eje central de sus 14 hectáreas. Dos canales de agua, dos invernaderos, un jardín de sombra, otro de plantas mediterráneas y una serie de recintos que asocian metales y colores se articulan en torno a él y a un segundo camino transversal que nos lleva hasta el famoso jardín en movimiento. Una idea desarrollada por Gilles Clément que consiste básicamente en sumarse a la corriente biológica que rige el lugar corrigiendo ciertas tendencias o potenciando otras, para orientarlo según un criterio estético.

::: Noticia generada a las 1:31 AM


sábado, abril 22, 2006 :::
 
Fuente: El País
Fecha: 8-4-06
Autor: Oswaldo Muñoz

El Luxemburgo, parque de flechazos y artistas en París
Microcosmos de historia y literatura. Allí levantó María de Médicis su residencia, se instaló el Senado y paseaba Balzac con su primer amor. Encantos irresistibles de un 'jardín de barrio'.

Desde tiempos remotos, el jardín, que etimológicamente significa cerco o valla, está asociado a una idea de microcosmos del universo. Fue un lugar de meditación para Platón y sus discípulos, que frecuentaban los hortus conclusus del gimnasio de Atenas, y en El cántico de los cánticos se asimila líricamente a una efusión erótica. La Edad Media empleará jardiner como equivalente metafórico de hacer el amor. El jardín de Luxemburgo, además de englobar todos esos significados, es el parque público más agradable en París. Da lo mismo ir en verano o en invierno. Sentarse plácidamente al sol o atravesar sus alamedas nevadas a paso rápido. Su misteriosa belleza, al compás estacionario de colores exaltantes o melancólicos, perdura todo el año.
Esta parcela en el centro de la capital, de 60.000 metros cuadrados de césped y 3.550 árboles, tiene una larga historia. Los romanos llamaron lucotitius a la que entonces era una zona agreste. Después de varias peripecias, María de Médicis compró en 1612 las primeras 25 hectáreas. Tres años más tarde hizo construir un excelso palacio por Salomon de Brosse. El vasto cuadrilátero con pabellones angulares fue ornado con obras de Rubens y Poussin traídas del Louvre y decorado después con frescos monumentales de Delacroix. En 1795 se instaló allí el Conseil des anciens, embrión del futuro Senado. Durante la Revolución de 1789, el edificio se había convertido en presidio, donde estuvieron encarcelados, entre otros, Danton y el pintor Jacques-Luis David.
La configuración actual del parque se debe a los arreglos de Haussmann bajo el Segundo Imperio, a mediados del siglo XIX. En 1871 fue tomado por los Comuneros, mientras que durante la Segunda Guerra Mundial lo ocupó el estado mayor de la Luftwaffe, la aviación alemana. Reservado al principio a la reina y la corte, el parque fue abierto al pueblo a mediados del siglo XVII. Considerado como jardín del barrio -sin fortificación-, tuvo desde su origen un carácter opuesto a los edenes reales, las Tullerías y el Palacio Real. La conservación botánica del terreno es una verdadera empresa. En los invernaderos de la parte norte del parque, se cultiva y conserva una colección única de orquídeas, con 1.500 especies, semillas o híbridos.
La serie de las 20 reinas de Francia y mujeres ilustres, erigidas en los dos semicírculos de la rotonda central, se imponen a la mirada con naturalidad. Como las copias de la antigüedad de Venus, Minerva con una lechuza en la mano, o Vulcano. También ornan enclaves precisos, o recovecos frondosos del jardín, ciervos en bronce, leones, un busto de Beethoven. Dos esculturas son, sin embargo, límpidas. La gracia soberana y risueña del fauno bailando, de Eugène Louis, y el impresionante conjunto, de Auguste Ottin, Polifemo sorprendiendo a Acis y Galatea. Casi escondida en un nicho central, la fuente de Médicis, custodiada por columnas, como al fondo de alguna gruta montañosa, tiene a sus pies un estanque bucólico de aguas dormidas y piedras bordeada de vasijas y macetas con guirnaldas y hiedra. Aunque apacible, el lugar inspira el dilema romántico por excelencia del secreto traicionado. La parte oeste del jardín es la reserva privilegiada de los niños. Con 13 quioscos repartidos en las proximidades de las puertas, se ofrecen golosinas y juguetes, la zona tiene columpios y alberga el teatro de marionetas. Esa parcela propone muchas atracciones, pero siempre discretas.

Tiovivo y conciertos

Alrededor de los muros soleados de L'Orangerie, galería de exposiciones temporales, muchas sillas metálicas (todo el jardín está lleno de sillas) estimulan a una plácida lectura. Un poco más lejos se juega al ajedrez, junto a las seis pistas de tenis, y el terreno de petanca. Es imprescindible descubrir (y, si la edad lo permite, montar) el tiovivo con caballos de madera, atracción de 1879 realizado a partir de los planos de Garnier, el constructor de la Ópera. Cerca del quiosco donde en verano pequeñas orquestas ofrecen conciertos gratuitos, le chalet les gaufres (unos barquillos), con decoración retro y servicio pausado, propone, dentro o en mesitas exteriores, rosbif, tortillas o huevos al plato con jamón, vino y café por 11 euros.
Por el jardín de Luxemburgo se paseaba Honoré de Balzac en compañía de su primer amor, madame de Berny; Baudelaire lo frecuentaba cavilando sobre el mal de las flores, y Guy de Maupasant lo describió como "un jardín bello como dulce sonrisa de anciana". Verlaine y George Sand, poetisa y amante del compositor romántico Frédéric Chopin, también eran asiduos. Asociados desde siglos a la literatura y el arte, los barrios colindantes (no lejos, en la calle de la Antigua Comedia, se reunían Voltaire y los enciclopedistas) siguen imbuidos en una actividad intelectual intensa mediante librerías, cines, colegios y chocolaterías. Para visitar este jardín, abrochado por sus cuatro esquinas por el magnánimo Panteón, San Sulpicio, el teatro del Odeón y las callejuelas del barrio Latino, hay que acudir sin la pretensión de ver nada. Dejándose guiar por las manchas abstractas del color o las caídas de perspectiva. El paseo será así bondadoso, tranquilo, filosófico. Como los versos del poeta Alfred de Musset: "Lugar encantador, solitario asilo, / Abierto noche y día al colegial con su libro en mano, / El soñador con su pereza, / El amoroso con su amante, / Entran en él como en un Paraíso".

::: Noticia generada a las 6:53 PM


 
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Fuente: Le Monde
Fecha: 23-03-06
Autor : Pierre Le Hir

Un observatoire citoyen pour recenser les papillons des jardins

UN, deux, trois... Allons au jardin, compter les papillons !" C'est une primesautière invite que lance, avec le printemps, le Muséum national d'histoire naturelle, en partenariat avec l'association Noé Conservation et la Fondation Nicolas-Hulot. Il s'agit de créer, avec le concours du public, un Observatoire des papillons des jardins, couvrant tout le territoire français et s'inscrivant dans la durée.

Les entomologistes en herbe devront s'inscrire sur le site www.noeconservation.org, où se trouve un descriptif des 28 espèces de papillons diurnes les plus communes en France, de l'amaryllis aux ailes orangées ourlées de brun au vulcain noir et feu, en passant par l'azuré bleu-gris. Ils pourront télécharger une fiche où ils noteront le nombre d'individus de chaque espèce visibles dans leur jardin. Chaque mois, ils inscriront, sur un formulaire en ligne, le nombre maximum d'individus relevé pour chaque espèce. Le Muséum fera la synthèse des données.
Alors qu'au Royaume-Uni des opérations similaires mobilisent des milliers de bénévoles, ce projet de "science participative" constitue une première en France. "Vu le faible nombre de biologistes professionnels qui étudient les milieux naturels, les réseaux d'amateurs sont indispensables pour alimenter en informations les observatoires de la biodiversité, en étroite collaboration avec les scientifiques", commente Robert Barbault, directeur du département d'écologie et de gestion de la biodiversité du Muséum.
Les papillons qui, avec 160 000 espèces connues, représentent plus de 10 % de la biodiversité animale, constituent d'excellents indicateurs de la qualité des milieux naturels et de la santé des écosystèmes. Or ils sont menacés par l'urbanisation, la destruction de leurs habitats naturels, l'agriculture intensive et les pesticides. Ils sont aussi très sensibles au réchauffement climatique.
En France, la population des spécimens de prairie a chuté de 50 % en quinze ans. Une récente étude britannique fait apparaître un déclin de 71 % des espèces présentes en Grande-Bretagne, et de 50 à 75 % de celles vivant en Allemagne, en Italie et aux Pays-Bas. La campagne du Muséum vise aussi à responsabiliser les 13 millions de jardiniers amateurs que compte l'Hexagone, qui, ensemble, entretiennent un million d'hectares, soit quatre fois la superficie des réserves naturelles.

::: Noticia generada a las 6:49 PM


martes, marzo 21, 2006 :::
 
Fuente: Voila.fr
Fecha: 24-2-06
Autor: AFP


Le 15e festival international des jardins de Chaumont: une invitation au jeu

Le 15e festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire (Loir-et-Cher) invite les visiteurs à venir s'amuser dans les 26 jardins éphémères qui seront créés et présentés au public du 29 avril au 15 octobre.

Le thème du "jeu au jardin" avait été choisi par le grand spécialiste des paysages et jardins Jean-Paul Pigeat, créateur de ce festival unique au monde et disparu en octobre dernier, a indiqué son remplaçant Christian Marie, lors d'une conférence de presse, jeudi, à Paris."

Chaumont est devenu laboratoire d'idées et nous allons essayer de continuer l'oeuvre de Jean-Paul Pigeat pour faire essaimer la culture des jardins", a dit le nouveau directeur.

La première édition avait eu lieu en 1992 : depuis, chaque année, des créateurs du monde entier inventent des jardins éphémères autour d'un thème choisi, sur une trentaine de parcelles, dans le parc du château de Chaumont-sur-Loire, qui domine la vallée de la Loire.

Cette année, 26 jardins seront réalisés dans ce Conservatoire international des parcs et jardins et du paysage (CIP JP), qui a accueilli l'an dernier quelque 150.000 visiteurs dont 30% de touristes étrangers, surtout des Britanniques, des Allemands, des Néerlandais et des Belges .

Les concepteurs (français, américains, italiens, belges) de 22 jardins ont été sélectionnés par un jury international ayant examiné 300 dossiers. Quatre autres sont réalisés par des équipes invitées. Parmi les concepteurs, il y a cette année huit paysagistes, six architectes, qu'ils soient encore étudiants ou déjà dans la profession, et deux plasticiens.

Le livre de Lewis Carroll "+Alice au pays des merveilles+ a beaucoup inspiré les concepteurs", a indiqué Christian Marie, pour traiter ce thème du "jeu au jardin, jeux d'eau, de vent, d'enfants".

Ces 26 jardins constituent un panorama de l'état de la création paysagère dans le monde: l'on pourra passer de l'échiquier végétal et mobile planté dans des poubelles à roulettes, au jardin de sons et d'odeurs, ou à celui à la marelle d'eau flottant sur un bassin.

On pourra se perdre dans le jardin labyrinthe aux miroirs pivotants et à végétation de pampa d'une équipe argentine, ou jouer avec les ombres dans celui de paysagistes américains mettant en scène un béton transparent, ou bien grimper dans le jardin-cabane par un escalier à hélice suspendue à un arbre.

Ces prototypes des jardins de demain se veulent sources d'inspiration pour tous et adaptables par chacun. La devise du festival, c'est: "venez piquer nos idées".

(Ferme du Château de Chaumont-sur-Loire, Loir-et-Cher), de 9H30 à la tombée de la nuit, tel: 02 54 20 99 22, www.chaumont-jardins.com)

::: Noticia generada a las 1:40 PM


miércoles, diciembre 07, 2005 :::
 
Fuente: Actu Environnement
Fecha: 18-11-05
Autor: C.SEGHIER




Le Prix du Paysage 2005 revient au parc Saint-Pierre d'Amiens


Nelly OLIN, ministre de l'écologie et du développement durable a remis mercredi le Prix du Paysage 2005 à la ville d'Amiens, maître d'ouvrage, et à la paysagiste Jacqueline Osty, maître d'œuvre, pour le parc Saint-Pierre


Un jury composé d'experts français et européens a désigné le parc Saint-Pierre d'Amiens, lauréat du Prix du Paysage 2005. Le parc fut inauguré en 1995 par la ville d'Amiens, maître d'ouvrage, et conçu par la paysagiste Jacqueline OSTY*, maître d'œuvre.

Nelly OLIN, ministre de l'écologie et du développement durable, a remis ce prix, mercredi au ministère de l'écologie, au cours d'une cérémonie qui a été précédée d'une table ronde sur le thème : paysage et développement durable.

Il constitue un véritable lien urbain et offre une diversité de lieux appropriés pour de multiples usage, a indiqué la ministre au cours de la cérémonie. Cette réalisation est exemplaire en ce qu'elle signe la réussite d'une rencontre fructueuse entre une commande publique forte, celle de la ville d'Amiens, et une réponse professionnelle pertinente et subtile, celle de Jacqueline Osty.

Le Prix du Paysage, institué en 2004 en application de la Convention européenne du paysage, remplace le Grand Prix du Paysage et le Trophée du Paysage, organisés en alternance jusqu'en 2001. Il récompense une réalisation exemplaire, achevée depuis au moins 3 ans, et distingue conjointement le maître d'ouvrage public et le ou la paysagiste maître d'œuvre, ainsi que la ou les associations éventuellement impliquées dans la réalisation.

En juin prochain, le ministère de l'écologie souhaite que le conseil national du paysage puisse examiner et valider un plan de reconquête des paysages périurbains. Par ailleurs, un programme de recherche « Paysages et développement durable » vient d'être lancé. Il doit fournir les éléments d'appréciation économique et d'évaluation des politiques publiques de paysages.

Nous ne pouvons plus rester passifs devant la standardisation des équipements et aménagements qui banalisent villes et campagnes au détriment de l'attractivité touristique de notre pays et de la qualité de vie de nos concitoyens, a t'elle signalé.

C.SEGHIER

*Jacqueline OSTY, paysagiste dplg (ENSP Versailles 1982), enseigne à l'ENSNP de Blois. Ses principales réalisations d'espaces publics notamment : le parc Saint Pierre, à Amiens (avec M&O L. ORSI), les terre-pleins des bd Richard-Lenoir et Jules Ferry à Paris 11e (avec D. MANGIN), la promenade Arthur Rimbaud à Paris 13e (avec F.GRETHER. Parmi ses projets en cours notamment : la plaine africaine du zoo de la Tête d'Or, à Lyon (avec ELLIPSE) et les aménagements coeur de ville à Chartres (avec B. REICHEN).

Les autres candidats :

Parc Fernand Braudel à La Seyne-sur-Mer
Maîtrise d'ouvrage : ville de la Seyne sur Mer
Paysagiste, Agence Alain FARAGOU

Jardins et espaces extérieurs du Lycée HQE de Calais
Maîtrise d'ouvrage, Conseil régional du Nord Pas de Calais
Paysagiste, Sylvain FLIPO, EMPREINTE Bureau de Paysages

Réserve naturelle du Romélaëre
Maîtrise d'ouvrage, Parc Naturel Régional des Caps et Marais d'Opale
Paysagiste, Nicolas HURET, ARIETUR

Jardins de l'eau du Pré Curieux
Maîtrise d'ouvrage, Ville d'Evian
Paysagiste, Olivier BRIERE

Parc naturel urbain de Feyssine
Maîtrise d'ouvrage, Ville de Villeurbanne
Paysagiste, Guerric PERE- Ilex

Aménagement de la place du 8 mai 1945
Maîtrise d'ouvrage, Communauté urbaine de Lyon
Paysagistes, Emmanuel JALBERT, Annie TARDIVON - In situ

::: Noticia generada a las 6:25 PM




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